« Sa y est, j'avais fraîchement et officiellement intégré le village de Kiri. J'étais donc désormais un Genin, Kirijin ! Ce titre m'allait plutôt bien, en plus les Kaguya venaient de Kiri me semblait-il. Bon officiellement je n'étais pas un Kaguya, j'étais simplement Kazuky Akuma. »-Me disais-je hier soir.

J'ouvrais l’œil gauche, cet œil maudit par le fuinjutsu fait sur ma demande. Je ne m'attendais pas à avoir une tel marque au visage, encore moins à ce que ce globe optique en question change de couleur. Car oui, depuis ce jour, les gens me dévisage, beaucoup de ninja possèdent des tatouages, ou différentes marques et en sont fière. Et les gens ne les dévisages pas. Moi il me dévisage … pourquoi ? Simplement car cette marque vient jusque dans mon œil et en change la couleurs, de plus, elle a la couleurs du sang. Mon regard n'en est que plus perçant, et le contraste entre mon doux visage enfantins et se regard de tueur en fait parler plus d'un.

La lumière passa alors à travers mon second œil et je sortais de mon lit. J'ouvrais à peine la fenêtre, et un Kunai sortit de cette dernière pour venir se planter dans mon placard. Je me mis de suite à couvert, quand alors je pus voir une note au bout de ce Kunai. D'instinct je fis sortir le plus d'os possible de mon corps afin de me protéger de l’explosion qui allait suivre ! Mais après quelques dizaines de secondes … rien. C'était étrange ...mes os se rétractèrent alors à l'intérieur de mon corps, et j'allais voir le Kunai et la note en question.

J'avais compris, la note au bout du kunai n'était autre qu'un ordre de mission. Je la lisais donc avec attentions, soupirais un peu, puis me préparais. C'était encore Kyô' qui me sollicitais, une missions de bas étage encore … Torturer un gars pour le faire parler, et maintenant tuer un gars et récupérer une boite de couleurs noir que portait ce gars. Certes il y avait un peu plus de piquant dans la missions, mais honnêtement je me demandais bien quand-est-ce que les missions de rang B tomberons … M'enfin, il me siffle je rapplique. C'est la base.

Je pris une allumette, la craquait et mis feu à l'ordre de missions. Voilà qui était fais, j'effectuais, une technique de Bunshin no Jutsu pour créer une illusion de moi restant à la maisons tandis que je sortais très discrètement par la fenêtre à l'arrière de ma maison. Je vérifiais bien que personne ne m'espionnais, et hop je filais dans le village. Je cherchais, une ruelle sombre, et entrais dans la plaque d'égout pour allez dans cet endroit si dégouttant …  

Voilà qui était fait, je devais désormais me perdre dans ses égouts et avec un peu de chance tomber sur ces individus. Je marchais donc entre la crasse et les mauvaises odeurs. Puis, je tombais face à des grilles, j'avais fait trop de chemin pour reculer, je ne savais pas où j'étais alors il fallait bien passer. Je sortais de ma colonne vertébral quelques vertèbres relié les unes aux autres. Ceci avec un manche, créant comme une petite épée bien tranchante. Je sciais entre-autre les barreaux de la grille, et passais.

La journée passais, et je ne tombais que sur des mauvaises piste. J'avais beau utilisé tout ce que maître Gekitsu m'avait enseigner sur la traque, je ne tombais que sur des rats, des poissons et il m'est même arriver de tomber sur un alligator. Mon odorat était totalement entraver par la mauvaise odeur, mon ouïe gêné par les bruits des rats, des poissons, des descentes d'eau et des gouttes qui tombes. Ressentir le chakra aurait été possible si les voleurs étaient de puissant adversaires tel des Kage, et encore il faudrait que je sois à une cinquantaine de mètres d'eux pour le sentir... Je ne suis pas un senseur moi !

Je fatiguais, alors tant pis, je me posais sur le coté, contre un mur tel un clochard ne savant où se mettre pour dormir, et fermais les yeux pour tenter de m'endormir. C'était très dur, il fallait le dire ! Ce n'était pas confortable, il faisait froid, et tous ces bruits n'étaient pas très propice à l'endormissement. Mais par je ne sais quel miracle au bout d'une heure environs je parvenais à tomber dans les bras de Morphée.

Le lendemains, j'ouvrais un œil, puis l'autre. Je frottais ses derniers pour bien me réveiller. Il était déjà temps de retrouver ces bandits qui avait voler mon maître. Au fond j'avais bien envie de les tuer tous autant qu'ils étaient. Pourtant mon ordre de missions me disais d'en tuer seulement un, celui qui avait voler la boite noir. Atra Kainu si mes souvenirs étaient bon.

Je recherchais désormais un endroit abandonné comme indiqué sur l'ordre de mission. Pour cela je me repérais par rapport aux tuyaux sur le plafond. Plus ils étaient mousseux, rouillé, et dégouttant plus j'allais vers eux. Quand au loin, j'entendais des sons. C'était des voix.  Avec un peu de chance j'allais tomber sur ses bandits. Je me mis à courir silencieusement vers la directions des voix. J'arrivais à une sortie de tunnel qui débouchait sur une énorme salle. Un groupe de gars y était, c'était sûrement eux. Je restais sur l'extrémité intérieur pour écouter.

« Mais t'es abrutis ! T'sais pas ouvrir une boite ou quoi ? Donne moi ça sale con !
-Bah tien fait le malin, j'te la laisse couillons !
-Kainu, j'espère que ça a de la valeur !
-J'lais voler à une grosse gueule t'en fais pas. Bon repasse la boite au lieu de te chier dessus à forcer comme un tarer. »

J'observais qui était le dit « Kainu ». J'avais repérer ma cible, bientôt il serait mort, et la boite dans mes mains. J'étais prêt à foncer, quand je me rappelait qu'il fallait que je face ça discrètement. J'entrais à toute vitesse dans la salle par le plafond du tunnel. Je fis assez vite à aller me planquer
derrière la tuyauterie au plafond de la salle dans un coin.

« Hé ! Vous avez entendu ça ?
-De quoi ?
-Bah je sais pas ta rien entendu ?
-Non…
-Arrête l'acool ça te réussis pas.
-Va te faire voir … c'est la fatigue. »

Fiou, heureusement que ces abrutis n'étaient pas des ninjas il m'aurait sûrement capté. Alors que j'étais suspendu tête à l'envers, j'attendais qu'ils décident de bouger. Les heures passaient et ils ne bougeais pas, et ne faisait rien à part discuter. C'était bien chiant comme missions dite donc, j'aurais eu le droit de tous les tuer croyez moi je serais déjà chez moi. Et les heures passaient encore et encore. Toujours rien, ces bouffons se bourraient la gueule et dégueulaient leurs entrailles. La nuit arrivait, j'avais passer une journée planqué en haut d'une salle souterraines à écouter des ivrognes de voleurs. Je patientais encore deux heures après que tout le monde s'était endormis pour être sûr.

Cette fois, c'était bon, je me dirigeais sur le mur adjacents leurs positions. Et le descendais en finesse. Je récupérais simplement la boite, et me dirigeais vers le voleur. Je posais ma main délicatement sur sa bouche, et passais mon autre mains derrière lui. Je donnais une impulsions pour l’emmener avec moi d'une traite jusqu'aux tunnel. Dieu sait pourtant à quel point la salle était grande, mais les aptitudes ninja permettais certaines choses que de simple humains n'imaginerait même pas. Alors pendant notre petit sauts, il se réveilla, mais ne pus évidement faire aucun bruit aillant ma main devant sa bouche. Une fois dans le tunnel je continuais ma route à allure de course.

J'avais bien fais attentions à ce qu'aucun d'eux ne se réveil. Je collais le voleurs contre un mur et le levais quelques peu en l'air. Alors très discrètement je lui dis :

« Je suis un Démon, envoyer de la part de Don Geki pour te tuer. Sache qu'on ne vole pas Don Geki. Promis un avertissement sera envoyer à t'es copains alcoolique pour qu'ils ne fassent pas la même erreurs que toi. »

Alors tout en appuyant assez fort contre sa gorge pour qu'aucun son ne sorte de sa bouche, je développais, mon Radius et le faisais sortir de ma paume posé sur sa bouche pour venir le transpercer. Je pris le corps sur mon épaule et le ramenais à la salle, en haut du tunnel je venais l'accrocher avec trois Kunai. A l'aide de son sang, j'écrivais au sol en gros, « Ne jamais voler une « Grosse-gueule » »

Voilà qui était fait, encore une fois, parano que j'étais, je vérifiais qu'aucun d'eux ne m'avait remarquer, et enfin partais de cette salle. Je cherchais une bouche d'égouts pour y sortir. Une fois à l'air libre, je refermais la bouche d'égouts et rentrais tranquillement chez moi.