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La marche des morts [RP solo]    Mar 24 Nov - 0:37
Le pays du fer, aussi nommé Tetsu no Kuni, une nation étrange vivant en total autarcie. Depuis toujours ce pays était resté à l'écart du système ninja. Pour quels raisons ? Personne ne pouvait le dire, peut être était ce dû à quelques mauvaises expériences avec les ninjas par le passé ? Les manuels d'histoires pourraient sûrement l'expliquer. Le pays était donc isolé, une terre hostile et forgée par la rudesse du froid, car ici l'hiver battait son plein, la neige tombait sans cesse, le ciel pleurant des larmes de puretés d'un blanc étincelant. En cette période de l'année, les températures étaient déjà sous le seuil des négatifs, si bien qu'en plus d'un voile blanc, le sol commençait à être rongé par la glace. Un tel climat n'était pas propice à la vie ou au développement et pourtant dans ces terres, vivaient un groupuscule, puissant et reconnu : les samuraïs...Armés de leurs deux sabres, ces guerriers étaient experts dans l'art du Kenjutsu, maîtrisant aussi dans de rares occasions, l'affinité Fuuton, dans le but de rendre leur l'arme impossible à parer. Ces guerriers étaient formés dès le plus jeune âge au combat, un apprentissage basé sur une moral sans faille, un honneur à toute épreuve, ces hommes de combat recevant la bénédictions des Dieux dans la mort au combat. Leur chef était un grand guerrier du nom de Mifune, une légende parmi ces pairs, un homme austère mais sage. La politique en place du pays l'obligeait à appliquer une neutralité totale quand aux conflits qui pouvaient ronger le monde des ninjas. La nation restait donc en paix, cherchant à ne pas se mêler des affaires des autres, ce genre de stratégie ayant montré plusieurs fois ces preuves. Hélas, très prochainement, le pays des guerriers des neiges ainsi que ces quelques villages à petites populations allaient découvrir que le mal rôde partout et ne connaît aucune frontière et ne respecte aucun traité.


Un soleil rayonnant ,mais ne réchauffant que très peu le sol, un ciel bleu et dégagé, une belle et saine journée en perspective. Des lapins en hibernation attendant l'heure du réveil, un ours cherchant à se nourrir pour cumuler des forces pour ces enfants et derrière ce charmant décor : une ombre.
Elle danse à travers les armes, une cape sombre et noir battant au rythme du vent, slalomant à travers les arbres, d'un pas assuré et silencieux. Marchant dans la neige et pourtant ne laissant aucune trace derrière lui, telle un fantôme venu d'ailleurs, un mirage n'ayant rien à faire ici ...
A travers le vent glacial, on pouvait entendre les respirations fortes et graves de l'homme en noir, celles-ci vous glaçaient le sang, résonnant à travers un masque de fer, un masque représentant un monstre, cachant les atrocités de son visage, vestiges et souvenirs d'un passé douloureux, ne représentant que souffrance et mort. Sentant un danger montant, les quelques animaux dehors se mirent à se terrer telle des rats, sentant que de funestes évènements allaient se produire. Une menace pesait sur le pays tout entier.



Le vent glacial transporte son nom ... Hirö... Hirö...

L'homme en noir, aussi surnommé le cauchemar, ralenti soudainement sa marche, il expira profondément, ce trouvant sur les hauteurs d'une colline, en amont du paysage, face à lui se présenta la première étape de son voyage en ce lieu : le pont du Samourai Bleu, qui était synonyme de frontière entre le pays du fer et une autre contrée. Il ne put que sourire à travers son masque, un sourire malsain et de mauvaise augure. L'expérience dont il allait être le chef d'orchestre allait pouvoir débuter. Le pays y était propice, sans ninja pour le défendre, les samouraïs ne seraient pas un réel problème, désormais il ne manquait plus que les sujets qui allaient être utilisé par Hirö. Un corbeau passa au-dessus du cauchemar, son plumage aussi sombre que les ténèbres. Il croassa une première fois, puis une deuxième, le ninja de Oto le regarda silencieux, telle la faucheuse restant de marbre avant d'accomplir son œuvre. Dès lors, les rayons du soleil furent cachés, non pas par un nuage, phénomène naturel de mère nature, mais par une masse noir, une masse de corbeau, tellement nombreux qu'il était impossible de les compter totalement. Le corbeau était signe de mauvais présage, oiseau de malheur et ces charognards battant des ailes dans le ciel, n'attendaient qu'une seule chose : se nourrir de la chair encore chaude des futures proies du cauchemar.


Ce fut donc sous l'œil attentif des sombres volatiles, que l'homme en noir reprit sa route, le pont se rapprochant petit à petit. Constitué d'une architecture des plus simples, l'édifice n'avait rien de bien impressionnant, selon les légendes, il tirait son nom de sa composition, ces fameuses pierre "bleues". Hirö ne chercha pas plus loin l'origine de ce nom et après tout il s'en moquait totalement. Arrivant enfin à la première étape de son voyage, il détecta deux gardes gardant la frontière. En effet, la faible sécuritée était dû à de longues années de paix et de relâchement, de plus, bien d'autres passages permettaient de pénétrer au sein du pays et le pont n'était pas le plus fréquenté loin de là. D'un pas décidé, il approcha des samouraïs, ne cherchant nullement à se cacher, Hirö était, selon lui déjà en terre conquise. L'un des deux experts au combat à l'arme blanche le vit.


"Halte qui va là !"

Hirö ne stoppa pas sa marche pour autant, qu'aurait il put répondre de toute façon à cette question ? Et bien, je suis la faucheuse, l'ange de la mort et le messager du serpent blanc, ici pour vous tuer et pour infliger au monde ce qu'il mérite. Non... Il n'aurait pu dire cela et les mots n'étaient que du vent face aux actions. Arrivant à porter du premier samuraï, celui-ci ne réagit pas jusqu'au moment où il vit que l'homme caché sous sa capuche noire portait un masque de fer des plus terrifiant, il tenta de saisir son arme, mais ne vit pas le Kunaï dans la main de l'étranger, qui d'un mouvement vif et circulaire lui trancha la gorge, le guerrier de fer tomba au sol, se noyant dans son propre sang, son corps parcouru de spasme.
Son partenaire lui eut le temps de dégainer ces deux lames et ce lança à l'assaut de l'homme en noir, mais dans sa course, un frisson le parcourra... Il savait... Il savait qu'il allait mourir car face à lui ne se trouvait pas un homme mais bien un monstre...
Ce moment de doute causa sa perte, voyant une faille dans son attaque, Hirö le mit au sol d'un coup de pied dans le foie. Puis enchainant avec vitesse et violence, il souleva d'une main et par le cou, le samouraï a la respiration haletante.


"Mais ... Qui êtes vous ?!"

Hirö ne prit pas la peine de lui répondre, se délectant bien assez de la terreur qu'il pouvait voir dans les yeux de sa victime. De sa main de fer libre, il transperça le corps du samuraï, et la retira tout aussi rapidement, avec son cœur encore battant en main. Le cauchemar lâcha le corps sans vie, et resta quelques secondes avec le cœur dans sa paume. Il poussa un rire amusé et sadique, content de lui, jubilant de la violence dont il était capable. Oter une vie était tellement plaisant. Il écrasa le cœur et le laissa tomber dans la neige de couleur rouge, suite aux deux corps sans vies se vidant de leurs sangs.
Hirö regarda vers l'est et vit une fumée s'élever dans le ciel. Le premier village était proche, signe de sa deuxième étape. L'expérience allait enfin pouvoir commencer. Les gens de ce village ne pouvait savoir, que à quelques kilomètres, profitant de leur vie simple et heureuse, la mort allait venir les faucher.


Que faisait le cauchemar en ce lieu ? Et que voulait il à ce village ? Le monde allait bientôt le savoir...


Dernière édition par Hirö le Mer 25 Nov - 1:10, édité 1 fois
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Re: La marche des morts [RP solo]    Mer 25 Nov - 1:07
[Point de vue du maire du village à quelques kilomètres du pont du samurai bleu.]

C'était une belle journée qui s'annonçait, dès le réveil il l'avait su, ouvrant les volets de son humble demeure, il respira à pleines bouffées l'air frais transportée par le vent glacial du pays du fer. Il avait toujours vécu au sein de ce pays au paysage blanc et pure. Il aimait ces moments là, un paysage radieux, un soleil agréable, lumineux mais pas trop lourd, lui, observant cette scène à la fois merveilleuse mais en même temps terrifiante de par son silence.
Il se décida enfin à quitter ses pensées, commençant à se préparer pour son inspection hebdomadaire du village, il commença par une bonne et chaude douche, histoire de réveiller tous ces membres attaqués par l'hiver. Puis par un petit déjeuner des plus copieux, le maire de la ville était un homme aimant la bonne nourriture, l'un de ses pêchés mignons il était vrai.
Au passage il était peut être temps de présenter cet homme du nom de Nosumi Akimi, mais ici tout le monde l'appelait Nosu. Il était un homme d'une quarantaine d'année, bien bâti sûrement grâce à la rudesse de la vie dans ce pays. Homme joyeux et réfléchi pensant avant tout au bien être des habitants de son petit village. D'ailleurs parlons en de ce village, composé d'un peu prêt 150 habitants, d'une architecture atypique et peut moderne, il fallait dire qu'ici, la modernité n'était pas une priorité. Les gens du coin vivaient de rien et étaient heureux comme ça. Le commerce étant rare, ils avaient appris à vivre par leurs propres moyens, c'est à dire de chasse, et de pèche, ainsi que de culture, même si le climat limitait rapidement les choses qui pouvaient pousser ou non chez eux.


Il se décida enfin à sortir de son habitation, l'hiver était bien là, la glace se mélangeant désormais à la neige. Son habitation se trouvait à l'extrémité est du village, il observa d'ailleurs de nombreuses traces quittant le village, il semblait que le groupe de chasseur était partie tôt ce matin en quête de nourriture pour la communauté.
Traversant les "rues", il croisa quelques connaissances, tout le monde étant proche ici, il répondit aux salutations par des sourires amicaux et des poignées de mains. Il tomba sur le menuisier par hasard.


"Salut monsieur le Maire, belle journée que voila non ?"

"En effet, une bien belle journée, similaire aux autres dira t'on."

Nosu ne put s'empêcher de rire face à ses propres propos, en effet, on aurait pu croire que la routine aurait pu tuer les habitants de ce village, mais il n'en était rien. Tous, Nosu le premier aimait passer des journées calmes et sans ennuis, l'agitation du monde était pour lui quelque chose de bien trop terrifiant, c'était d'ailleurs pour cela qu'il n'avait jamais voyagé à l'extérieur du pays des Samurais. Parlons en d'ailleurs de ces samuraïs, des hommes respectés et forts, protégeant la population des dangers extérieurs, même si ceux ci étaient rares. Mifune, chef de ce groupe et aussi leader du pays était un homme juste et bon, sévère aussi, mais sage dans ces décisions. Noso et les siens admiraient leur protecteur il fallait le dire.
Continuant son inspection, il vit que la route menant au pont du samurai bleu, commençait à disparaître sous la neige, il faudrait régler cela au plus vite. Il arriva au bâtiment le plus imposant du secteur, c'était son lieu de travail, endroit de décision pour parler des évènements de la journée. Les quelques paperasses qu'il devait remplir étaient d'un ennui mortel, mais il ne pouvait se plaindre, imaginant sans cesse la tonne de documents dont devaient s'occuper les Kages des villages ninjas. Il soupira de fatigue face à cette pensées...


La journée passa vite, malgré le peu de tâche à accomplir, Noso ne s'ennuya pas une seul seconde, s'amusant à observer depuis son bureau, le paysage et les enfants jouant à des batailles de boules de neige exposant fièrement leur bonheur et leur innocence.
Mais cette tranquillité allait être dérangé par un évènement exceptionnel. On déboula dans son bureau, un groupe de femme en panique parlant toutes en même temps, il ne pouvait discerner le sujet de ce boucan. Criant pour calmer tout le monde, une explication lui fut donné.


"Monsieur le maire... Nos... Nos hommes... Nos maris... Les chasseurs, personne n'est encore revenu depuis ce matin, et la nuit va bientôt tomber."

Il resta tout d'abord bouche bée, puis compris l'urgence de la situation voyant que le soleil avait déjà commencé à décliner. La nuit rien de bien dangereux ne se baladait dans les bois, ormis les ours peut être mais les températures chutaient drastiquement, et passer la nuit dehors signifiait une mort certaine. Cherchant à rassurer les jeunes femmes, Nosu se décida à rassembler le reste de la population pour lancer une annonce et ainsi trouver des volontaires pour organiser une battue. Le groupe de chasseur n'avait pu se perdre sur ces terres, le groupe d'homme avait du rencontrer un problème. Peut être un blessé parmi eux ? Ou bien une chute de neige les ayant bloqués quelque part ? Il était trop tôt pour le savoir.
La nouvelle se propagea rapidement, et l'appel du maire reçu une réponse d'une grande partie de ces habitants, seul les anciens et les enfants étaient restés chez eux, chose normal. La nuit venait juste de tomber, l'obscurité gagnant face à la lumière. Le point de rassemblement était devant la maison de Nosu, les dernières traces de pas du chasseur étaient ici. Il n'y avait pas de lune ce soir et sans torche, il était impossible d'avancer. Se tournant face aux volontaires, le chemin quittant son chez soi derrière lui caché par les ténèbres, il hurla.


"Rester bien derrière moi et en file, si vous voyez une torche s'éloigner de la piste, hurler pour stopper la marche. Nous retrouvons vite nos camarades, soyez sans crai..."

Il ne pu finir sa phrase, une gerbe de sang s'échappa de son cou, à moitié arraché par une paire de dent... Sorti tout droit des ténèbres derrière lui, un homme venait de le saisir par la taille, plantant sa gueule dans le cou de Nosu. L'homme en question avait une respiration anormalement bruyante, et surtout... Son corps était aussi blanc que la neige, recouvert par une faible couche de givre. Sa jambe ensanglanté et à moitié déchiré. Si Nosu avait pu l'observer de plus près, il aurait pu voir un de ces voisins, chasseur de profession et disparu depuis ce matin.
Soudain d'autres "monstres" apparurent derrière le premier et se jetèrent sur la foule. Les cadavres ambulants n'étaient qu'une dizaine et pourtant il créèrent un mouvement de panique face à des civils n'ayant rien vu de telle, et surtout affectés par la mort brutal de Nosu... Un carnage commença...
Pendant ce temps Nosu tomba au sol, le cadavre continuant de le dévorer. Ses yeux commençaient à se fermer, la mort était venu le chercher. Sa dernière vision fut sa maison, dont il vit le toit, il pu remarquer dans un éclair de lucidité, qu'un homme masqué en noir observait la scène perché sur son habitation... Il pensa...


*Finalement, une vrai journée de merde* La vie le quitta sur cette pensée...

[Fin du point de vue du maire.]

Spoiler:
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Re: La marche des morts [RP solo]    Dim 29 Nov - 5:28
L'aube venait de se lever, le soleil pointant le bout de son nez timidement, mais sûrement, la nuit venait d'être longue et pleine de ténèbres. La neige majestueuse et blanche, couleur des rois, était désormais devenu une mer rouge, drapée de sang des derrières victimes de l'homme en noir. Le vent glacial installait un silence des plus affreux, comme témoin des événements et pourtant incapable de se délier la langue pour en parler... Les corps des pauvres gens du village maudit étaient impossible à compter, plus aucun ne bougeaient, déjà leur corps commençaient à être recouvert de givre, signe de température négative. Les corbeaux arrivèrent vite et en nombre, savourant leur festin, dévorant chaque partie des cadavres, en commençant par les yeux qui semblaient être leur plat favori.
Alors que rien ne pouvait déranger ce triste spectacle, quelques morts vivants étaient encore en vie, défilant dans les ruines du village, continuant à dévorer eux aussi leurs victimes. Devant la résidence de l'ancien chef du village, l'homme en noir se tenait là masqué, silencieux, sa respiration créant de temps à autre de la fumée, dû à la différence de température sortant de son corps face à celle du froid polaire. Il resta pensif, sûrement satisfait de l'expérience de ce soir, mais en même temps déçu. Les monstres qu'ils avaient invoqués avaient fait leur travail, mais leurs faiblesses étaient loin d'être négligeable, victorieux face à des civils, mais de piètres adversaires face à des ninjas c'était certain. Il soupira de lassitude, sachant très bien qu'il n'obtiendrai rien de mieux pour le moment. Croisant ses mains, il effectua quelques mundras, et aussi vite qu'ils étaient apparus, les morts vivants disparurent retournant à l'état de poussière...


Il défila entre les cadavres, les chevauchant parfois, n'ayant aucun respect pour la mort, après tout il était la faucheuse, pourquoi aurait il une once de pitié ? Il avait perdu toute humanité après son accident, après avoir rejoint son maître le serpent blanc. Voir son oeuvre, lui rappela la guerre qu'il avait connu, celle qui lui avait infligé des blessures impossible à effacer, que se soit sur son corps ou bien sur son âme... Lame en main, il vérifia quand même qu'aucun survivant n'était ici. Devait il garder le secret de son passage ? Oui et non, on serait tôt tout tard qu'un homme masqué avait fait ceci, effacer les témoins ne garantissait jamais une totale discrétion, il l'avait vérifié trop de fois, l'information étant difficile à contrôler.
Soudain, un corps se mit à ramper, lâchant dans chacun de ces gestes, une marre de sang, son corps parcouru de tremblements sûrement dû au froid, ces membres devaient être tellement engourdies, qu'ils ne devaient même plus ressentir la douleur. D'un pas léger, Hirö se dirigea vers lui. Le survivant était une femme, dans un effort surhumain, elle réussit à se retourner face à son bourreau. Le ninja de Oto, vit que dans son regard, aucune crainte n'était possible à détecter. Elle était résigné à mourir, mais se refusant à supplier le monstre qui avait massacré son village et détruit son passé, son présent et son futur... Elle ne donnerait aucun plaisir à Hiro. Soudain elle se mit même à sourire, puis à rire, de façon énergique, un rire de folle, forcé et en même temps sincère. Elle toussa du sang cherchant à parler. Puis elle parvint à aligner quelques mots.


"Voila ... Voila ... Donc celui qui aura causé notre perte, quel plaisir de voir celui qui très bientôt ira pourrir en enfer, une fois que les Oi-nin des villages ninjas seront à ces trousses et que..."

Il ne lui laissa guère le temps de finir, son gantelet de fer se retrouvant autour de sa gorge, coupant la respiration de la jeune femme, surpris par son geste et sûrement aussi par la froideur du contacte de la main de son bourreau. Sa voix résonna à travers son masque, il prit la parole, ces mots résonnants à travers le village, peut être même à travers le pays, comme si quelque chose de mystique venait de se produire.

"Les cafards ne m'adressent pas la parole et reste à croupir au sol... Tu me voit aller en enfer ? Je suis né là bas. Fantôme d'une époque bien plus sombre que celle ci. Tu penses que les ninjas ou vos samuraïs pourront me stopper ? Tu es donc stupide en plus d'être pire que de la merde... Je les vois tu sais, ces gens qui tout comme toi, au sein des grands villages, se pensent intouchables, et en sécurité, ne pensant qu'à se reproduire comme des rats. Les kages telle que Meï Terumi ou bien Onôki, pensant à la fierté de leur nation et de la moral que représente leurs objectifs, ignorant que le mal est déjà en eux, dévorant petit à petit leurs âme et leurs coeur... J'accrocherai leur tête sur ma lame, les conduisant tout d'abord à la folie et aux désespoirs, puis les laissant au sol baignant dans leur tripes."

Hirö de sa main libre, retira son masque quelques instants pour montrer son visage à la jeune femme, et de façon soudaine, elle perdit toute la confiance qu'elle avait eut un peu plus tôt, prit d'une frayeur impossible à décrire, que pouvait elle voir ? Il était impossible de le dire, il aurait fallu être dans sa tête à ce moment là. Hirö ne put que sourire face à sa réaction, et remettant son visage de fer en place, il serra un peu plus fort son gantelet  autour du cou de la civil, il y eut un craquement, signe de vertèbres se brisant sous la force du monstre, et la vie quitta le corps de la survivante.
Se relevant, le cauchemar éclata de rire, d'un rire sombre et frénétique. Il était grand temps d'aller rendre une petite visite à l'une des 5 grandes nations, qui à l'heure actuel étaient concentrées dans leur combat contre la lune rouge, ignorant qu'une autre menace et de nouveaux malheurs allaient bientôt les frapper.
Ce fut donc ainsi, que, dans une tempête de neige, l'homme en noir disparu du pays du fer. Deux jours plus tard un bataillon de samuraïs se rendit sur la place du massacre, inquiet de ne plus avoir de nouvelle du petit village près du pont du Samurai Bleu.... Face à l'ampleur des dégâts, une enquête fut donné, mais celle ci ne donna que peu d'élément sur les sombres évènements...
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Re: La marche des morts [RP solo]    Mer 2 Déc - 22:53

Correction de Hirö



Positif,

C'était vraiment intéressant à lire ! J'ai apprécié ta façon d'écrire, tu sais nous surprendre et tenir ton lecteur en haleine. Ton mystérieux Otojin m'intrigue et j'espère en apprendre bientôt davantage car, pour le moment, je ne sais pas grand chose de ses intentions qui, à l'évidence, risquent de fragiliser le système shinobi.




Négatif,

Le seul point négatif, c'est l'orthographe. Quatre-vingts pour cent de fautes d'accord (genre et nombre) aisément identifiables, vingt pour cent d'autres erreurs dues à l'inattention sans doute. Fais attention car, si je ne m'abuse, on n'attend de personne une orthographe irréprochable, bien entendu, mais le rang A appelle à davantage de vigilance vis-à-vis de la langue... Je suggère tout bonnement une relecture attentive, si tu as eu le rang c'est que tu en es capable, c'est juste dommage de laisser tes fautes ternir de si bons textes :')


Note: (6 + 10 = 16)  (3599 mots /140 = 26)
TOTAL : 16 + 26 = 42 PE

Merci !
~ Tata

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