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Hello Darkness my ol' friend | with myself
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Gekitsu Kyôshi
忍 | Nukenin
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Gekitsu Kyôshi
Messages : 1532
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Fiche Shinobi
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Hello Darkness my ol' friend | with myself NJ7MbV0772/500Hello Darkness my ol' friend | with myself Up4Qf5Y  (772/500)



Every man has his secret sorrows which the world knows not; and often times we call a man cold when he is only sad. ▬ Henry Wadsworth Longfellow






La vie, cet abscons et indescriptible concept qu'on s'essayait tous à comprendre en vain, elle nous amenait à faire drôle de chose. Intangible et inexplicable, elle se vivait, se ressentait. On la voyait tous les jours sans réellement pouvoir dire réellement qui elle était. Cette vie, n'était-elle pas en partie l'humanité que nous retrouvions dans chacun de nous ? On la voyait tous les jours sans réellement pouvoir dire réellement qui elle était. N'était-elle, tout simplement, rien ? Une invention faite par l'homme pour tenter de justifier des choses qu'il ne pouvait et ne pourrait jamais véritablement comprendre ? Tout cela n'était-il qu'une immense mise en scène, une pièce de théâtre parmi laquelle nous croyions être le personnage principal? Who the fuck knows. Il n'y aura jamais de réponse à tout ça. Jamais. Ces hommes prétendant avoir des réponses se mettaient le doigt royalement dans l’œil. Ces hommes prétendant avoir des réponses se mettaient le doigt royalement dans l’œil. Nul ne peut prétendre avoir la connaissance universelle, ultime et véridique, personne. Celui qui ose prétendre à ce titre est dangereux, aliéné, nul ne peut, avec certitude, affirmer être persuadé d'une telle chose. Cela représenterait d'ailleurs le suicide de l'âme, de la quête du savoir. Cette impossibilité nous gardait en vie, nous poussant à continuer le chemin, car nous ne savions pas ce qu'il y avait au bout. Peu importe votre vision de la chose, si cela était un jeu, une route, un escalier ou peu importe quoi, l'important, c'était le processus et non le résultat. L'essentiel de cet ensemble d'infinité y résidait en son cœur. Personnellement, je préférais rester dans le doute vis-à-vis de ces grandes questions existentielles, c'était bien plus amusant. Je voyais le tout comme un jeu, tel un enfant, je jouais, selon mes propres règles sans réellement savoir ce qu'il y avait à la clé. Je ne savais même pas réellement ce que je faisais, personne ne savais totalement. On vivait, tout simplement, chacun à notre façon et selon nos propres règles. En ce moment même, je ne faisais rien de bien précis, rien de concret, je me laissais aller à me perdre dans les méandres de mon esprit, suivant une réflexion des plus erratiques, qui me menait absolument nul part. Cependant, j'aimais ça, j'adorais ça. Réfléchir, jamais je n'arrêtais de le faire. Je gagnais ma vie ainsi. Nuance, ce soir, je le faisais tout simplement pour moi, pour mon être, car j'en avais envie, car je le devais, je le ressentais, tout simplement. Je voulais vivre. C'est donc ainsi, que j'avais décidé de mettre le masque, le déguisement et l'enveloppe charnelle du Seifukusha de côté. Ce soir, cette nuit, je n'étais plus ce dangereux ponte du crime, je n'étais même plus Gekitsu Kyôshi, je n'étais tout simplement personne. J'étais une âme en perdition décidant d'aller errer en ce monde. J'allais regarder le train de la vie défiler devant mes pupilles vermeilles. Quittant mon fauteuil et laissant mon verre de whisky de côté, j'allais aller marcher en ville, seul avec moi-même et ma mélancolie et la nuit.

Me retirant de mes luxueux appartements, ne laissant pas la moindre note, n'avertissant aucun de mes majordomes, je prenais le chemin de la rue. N'ayant comme habit qu'un humble kimono ébène, je laissais l’opulence et l'effervescence de mon quotidien pour aller me plonger à travers la plèbe. Main dans les poches, capuchons sur la tête, je n'étais personne en cette nuit drapée d'un voile étoilé, je n'étais qu'un fantôme, un être lambda sans réelle histoire pour ceux qui ne s'y attardait pas. J'allais parcourir mon monde, celui duquel j'étais venu et aussi celui sur lequel j'avais appris à régner : la rue. Cette même rue qui voyait chaque jour des gens vivre le même sort que le mien jadis. J'allais avoir un regard inédit sur ce monde qui était devenu mon univers. Comme dit le dicton: la sagesse n'est pas de prendre un nouveau chemin, mais bien de refaire le même chemin avec des yeux nouveaux. Ainsi, j'allais peut-être comprendre quelque chose, va savoir quoi, mais j'allais apprendre, grandir, assurément. J'allais me rapprocher un peu plus de cette éternelle but et intouchable but. J'allais plonger un peu plus dans cette folie dont les gens intelligents étaient affublés. La connaissance apportait son lot de problème, mais j'aimais vivre ainsi. Le savoir est une âme et j'allais affûter mon glaive. Nonchalamment, je déambulais dans un quartier aisé de mon bastion actuel, Tanzaku, la ville du vice pour plusieurs. La ville des opportunités pour moi. À cette heure tardive, les rues n'étaient pas aussi fourmillantes qu'à leur habitudes mais je pouvais tout de même observer de particulier spécimen de temps à autre. De belles chaumières bordaient cette route pavée, des gens, qui comme moi, possédaient un rythme de vie aisé, chacun a sa façon avait accumulé assez d'argent pour s’offrir un logis charmant et tranquille de la sorte. En voyant la fumée sortir de ces maisons, chandelles aux fenêtres, je ne pu m'empêcher de laisser paraître un léger sourire. Tous ces gens vivaient une vie de rêve, bien au chaud, il dormait sans se soucier du lendemain. Leur plus grande inquiétude étant ce qu'il allait mettre demain, le pull bleu ou le rouge. Faisais-je réellement parti de ces gens ? Je ne crois pas, je persistais à me croire dans une classe à part, en fait, je l'étais, mais je n'étais pas parmi eux. J'aimais, j'adorais, certes le caviar et le vin, mais j'étais loin de ressembler à mes voisins hautains et snobe. Si au moins ils savaient qui j'étais vraiment. La vieille madame Otsui ne me ferait pas d'aussi chaleureux sourire le matin en me voyant. Elle me maudirait plus tôt pour le sort que subit son petit-fils, cocaïnomane croupissant en prison pour une histoire de deal ayant mal tourné. Le toute gracieuseté de Don Geki inc. Continuant ma marche, je quittais peu à peu ce lotissement bourgeois pour me retrouver au centre-ville, lieu relativement paisible qui s'agitait une fois la nuit venue.

Abstergeant mon esprit, je me dirigeais dans un endroit des plus méphitique, paradoxale, non ? Toute cette incohérence était toutefois très logique pour moi. Depuis quand que je suivais les normes socialement établies? Depuis quand je pliais l'échine devant des évidences morales pourtant erronés et biaisés ? Depuis jamais et ce n'était pas en cette étrange nuit aux allures nostalgiques que j'allais commencer. La richesse et la tranquillité du précèdent quartier avait cédé sa place à une ambiance délétère. Maison de jeu, taverne et bordel en tous genre bordait la ruelle. Tout cela, en partie, m'appartenait, tout cela était cependant très loin dans l'échelle de mes priorités en ce moment. J'étais ailleurs. Le magnat des chiffres, des affaires et du marché noir avait laissé cet habit à la maison plus tôt. Ce n'était que moi, l'âme qui se faisait traîner par un enveloppe charnelle oubliant qui elle était à travers cette recherche de soit même à travers les autres. C'est compliqué, non ? Un peu, c'est ce qui est amusant. La complexité de cette situation pourtant très simple. Je n'étais rien de plus qu'un gars prenant une marche. Tout le reste était dans ma tête, c'est moi qui créais ce scénario tiré par les cheveux et qui s'amusais à y croire. J'allais d'ailleurs continuer d'y croire et poursuivre dans cette péripétie spirituelle dans laquelle je me plaisais tant. Un ivrogne jonchait sur le seul, dormant dans son propre vomis, c'était fascinant. Si, quelques instants, nous oublions le fait qu'il se reposait face première dans une étrange mixture et réfléchissions au pourquoi de cette débandade, nous pouvions avoir une pertinente réflexion qui allait pourtant nous mener nul part que face à d'autre questionnement, vraiment passionnant. Il pouvait être un shinobi tentant d'oublier une douloureuse mission, un homme désirant s'échapper de son affliction quotidienne d'être un cocu unijambiste et monocouille ou bien tout simplement un jeune néophyte de la vie nocturne découvrant les bienfaits et contre-coup de l'alcool. Qui sait.. Pas moi en tout cas, et c'était tant mieux. Je pouvais continuer ma route en oubliant cet homme, laissant le souvenir de cette farfelue rencontre dans un tiroir perdu au fond de mon esprit.

Je n'avais pas encore quitté ce quartier qu'un autre évènement attira mon oeil. En fait, c'était plus qui que quoi. Au loin, j'avais aperçu deux silhouettes se battant dans ce froid glacial. Une bagarre entre deux bandits de bas étage étaient fréquent dans un cloaque de la sorte, très fréquent même. Il y avait cependant un détail qui avait fait allumer une lumière dans ma tête, la taille des ombres. Une petite et une grosse. Intrigué, j'étais allé voir, je n'y perdais rien. Je voulais me promener ce soir, allant au gré du vent dans de nouvelles directions. Mon chemin m'avait donc mis sur leur route. Un homme, la trentaine, avec un surplus de poids évidents, arborant une barbe de quelques jours et de beaux habits s'afférait à démolir à coup-de-poing un petit garçon, jeune adolescent, il semblait sans défense, frêle et faible, il subissait les affres de son bourreau sans broncher. Pourtant mithridatisé face à la violence, cette fois-ci, je n'avais pu contenir ma colère. Sortant de la sérénité dans laquel je m'étais plongé depuis un moment, j'avais revêtit un court moment le manteau d'un de mes surnoms, le Kaibutsu (monstre), surnom que j'avais acquis dans la rue. Je l'avais donc aggripé à la gorge pour stopper cette injustice. Déjà engagé dans un chemin irréméable, je poursuis sur cette voie en lui assénant un puissant coup de poing dans l'abdomen, lui coupant le souffle directement. Lentement en train de suffoquer, il paniquait. Tentant d'implorer mon pardon, pleunichissant tel une fillette, je lui avais prononcé quelque mots sur un ton comminatoire. Grosso-modo, je lui avais ordonné de ne plus jamais touché à un enfant, qui s'il recommençait, je le tuerais. Lui cassant les doigts puis les poignets, je l'avais poussé dans la direction opposée à celle du petit bonhomme qui avait tout regardé. Il ne gémissait pas et ne se plaignait pas, il faisait preuve de bien plus de courage que ce mécréant que je venais de terroriser. Pourquoi j'avais sauvé cet enfant d'une évidente séance de martelage ? Tout simplement, car il me rappelait moi au même âge. La mélancolie et la nostalgie qui s'étaient emparées de moi plus tôt avait réchauffé mon cœur en ces temps glaciaux pour un court instant. Faisant preuve d'empathie, j'avais donc été le sauveur de ce p'tit homme. Il avait pourtant volé la bourse de cet infâme personnage. Il aurait dû payer pour son crime, non ? Parfois, il faut savoir utiliser son gros bon sens et je comprenais très bien le genre de situation que pouvais vivre ce petit bout d'humain. Il n'avait pas réellement le choix, il ne pouvait dormir paisiblement comme le faisaient les enfants du quartier bourgeois que j'avais précédemment visité. Surpis, il demeurait bouche-bée face, c'est alors que je lui avais demandé son nom. Il m'avait répondu un timide ''Kitai''. C'est alors que je lui avais demandé si je pouvais le raccompagner chez lui. Il accepta en faisant un réservé oui de la tête. C'est alors que nous avions pris la route de la maison du petit Kitai.

Kitai signifie espoir. Même si ce petit gars vivait la pire des merdes en ce moment, je savais très bien qu'il pouvait s'en sortir, tout le monde le peut, s'ils le veulent sincèrement et sérieusement. À son âge, j'étais pareil, je mendiais et faisais la rue pour avoir un peu d'argent pour aider ma mère. Puis, à l’occasion, je recevais quelques claques, car je m'en étais pris au mauvais type. Puis, je suis devenue ce mauvais type, ironique, non ? Sur le chemin de son domicile, j'avais parlé un peu avec lui, il m'avait tout d'abord remercié de l'avoir aidé, plusieurs fois d'ailleurs. Il n'était vraiment pas bavard, c'était compréhensible, donc je tentais de le faire s'ouvrir un peu. Je lui demandais ce qu'il aimait dans la vie. Il m'avait parlé des chevaux, il aimait faire du cheval. Je ne sais pas ça venait d'où, mais je trouvais cela fort intéressant. Il m'avait aussi dit qu'il voulait devenir ninja, que son papa était ninja. Il avait utilisé l'imparfait pour parler de son père, je me doutais de la suite, mais je n'avais pas osé lui en parler. Je n'avais jamais réellement connu mon père et je pouvais comprendre ce que le pauvre petit ressentait. Après une bonne marche, nous étions arrivés au domicile familial, un petit appartement certes charmant, mais tout de même miteux. La toiture semblait tombé en morceau, la peinture était défraîchie et des déchets jonchait le terrain. Un junkie jonchait même sur un coté de l'édifice . Il résidait au logement numéro trois. Ouvrant la porte en premier, Kitai avait salué sa mère, avertissant qu'il était là. Sa mère, folle d'inquiétude venue le prendre dans ses bras, lui donnant un baiser sur le front. Relevant la tête, elle m'avait aperçu, me brandissant un couteau afin de se défendre. Sa progéniture lui toucha alors le bras et lui dit d'arrêter, que je venais de le sauver. Relâchant la tension, elle laissa tomber le couteau puis je lui avais expliqué la situation. Elle demanda alors à son fils d'aller se coucher, qu'il devait se reposer. Ce dernier me salua puis me fit un petit sourire, j'avais fait de même. Demandant à la dame si je pouvais rester un peu, elle m'invita à m’asseoir. Me servant un café, non pas aussi raffiné que ce que j'avais l'habitude boire, mais tout de même buvable, elle prenait aussi place à table. Puis nous discutions de tout et de rien. J'avais ce don de parler aux gens, de leur faire dire ce que je voulais savoir. J'avais un charisme incroyable. Il me servait majoritairement à bien faire le mal, mais à de rares instants, il pouvait me servir à tout simplement être humain. De fil en aiguille, elle me révéla un paquet de trucs. Son mari, ancien ninja de la feuille, un junnin, était décédé dans la dernière grande guerre. Seul face à une économie et une qualité de vie chancelante d'après-guerre, elle avait tenté tant bien que mal de subsister au besoin de sa famille. Je m'intéressais à elle, sincèrement. Elle me rappelait ma propre mère. Elle avait tout fait pour moi, elle n'avait plus d'autre vie que celle qu'elle donnait pour que son fils ne manque de rien. Tentant de l'aider à mon tour, je m'étais engouffré dans ce monde que je domine aujourd'hui. Lui payant une merveilleuse ferme dans une prairie dont je tairai le nom pour de simple raison de sécurité, elle avait pu refaire sa vie. J'avais pris soin d'elle, je l'avais sorti de ce taudis minable dans lequel nous vivions. Mon mode de vie m'avait permis de redonner à la femme de ma vie, de lui offrir la vie qu'elle avait toujours méritée. Lui payant une merveilleuse ferme dans une prairie dont je tairai le nom pour de simple raison de sécurité, elle avait pu refaire sa vie. Elle avait eu un nouveau mari, puis deux enfants avec cet homme. Ils étaient mon frère et ma sœur. Ils ne le savaient cependant pas. Et c'était tant mieux. Ma mère leur avait tait mon identité et mon existence pour préserver leur innocence et leur sécurité. S'ils savaient avec quel argent leur lit douillet avait été payé. J'acceptais que les choses soit ainsi, ma mère ne faisait que protéger sa famille et je respectais son choix. J'allais la voir de temps en temps, puis je m'assurais qu'elle ne manque jamais de rien. Veillant d'elle de loin, je m'occupais de ma mère comme elle s'était occupé de moi. Fondamentalement, je faisais tout ça non pas pour l'amour du pouvoir, mais bien pour l'amour simple et pur de cette femme et de ses enfants qui représentait tout pour moi-même si pour eux, je n'étais qu'un inconnu.

C'est alors, qu'émue par l'histoire de la dame, j'avais pris la parole afin de lui proposer quelque chose. Je lui expliquais que son petit Kitai m'avait parlé de deux de ces rêves, le premier d'avoir un cheval et le deuxième de devenir un ninja, comme son papa. Je lui dis que je pouvais l'aider à les réaliser. Je lui avais directement dit que je lui achèterais un cheval et que je payerais pour son entrée à l'académie de Konoha. Émue, troublé, elle me remercia et fondue en larmes. Puis, elle me dit que c'était impossible, qu'elle ne pouvait pas avoir de cheval ici et que l'académie était bien trop loin et que la route était trop dangereuse jusqu'à Konoha.. C'est alors que je l'avais stoppé dans ses pleurs et que j'avais ajouté que je leur offrais aussi une petite maison en banlieue de Konoha, dans un secteur beaucoup plus tranquille. Qu'un petit ne devrait jamais avoir à vivre un tel calvaire et qu'elle-même méritait une meilleure vie, surtout après avoir fait autant d'effort pour tenter de sortir de ça. Aujourd'hui, elle allait en sortir, j'en faisais une priorité. Plus jamais cette famille ne connaîtrait la fin. Je ne voulais pas que ce petit devienne un Gekitsu numéro deux. Cette vie était atroce, c'était la mienne, mais elle était dégueulasse. J'étais certes bien actuellement, mais j'avais dû faire des choses atroces pour en arriver ici et jamais je ne voulais qu'un petit gamin vive la même chose que moi. Je m'étais reconnu dans ses yeux et j'avais vu les yeux de ma mère, la détresse et la souffrance dans les yeux de la sienne. Explosant en larme, elle est venue me serrer dans ses bras, me demander pourquoi, pourquoi eux ? C'est alors que je lui répondu qu'autrefois, j'avais vécu la même chose qu'eux et que depuis la vie m'avait été favorable et que je souhaitais tout simplement redonner à mon prochain, qu'ils étaient de bonnes personnes et qu'ils le méritaient sincèrement. Parlant encore pendant quelques heures avec la mère de famille, je me laissais plonger dans la discussion, semblant parler à ma propre mère d'une autre époque, je changeais leur destin à tout jamais, faisant dévier une jeune âme du chemin que j'avais jadis emprunté. Puis, une fois le matin arrivé, j'avais quitté le domicile de la dame. Reprenant la route en faisant le chemin inverse, voyant le soleil se lever et les cœurs se réchauffer après cette nuit au froid tsukien. Comme promis, dans les semaines qui avaient suivi, mes hommes avaient aidé à déménager la petite famille puis Kitai reçu son cheval et fut inscrit à l'académie, suivant les traces de son papa. Sa mère allant le porter chaque matin la fierté dans les yeux, le cœur léger. Tout comme le mien, qui se voyait légèrement réchauffé, heureux d'avoir aidé son sosie du futur. Couché dans mon lit, je pouvais fermer les yeux après cette aventure qui malgré tout, m'aura bien apprit deux trois petits trucs.





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Correction de Gekitsu Kyôshi




Positif,

Un poste relativement complet, une bonne introspection en soit et une quantité plus que décente.




Négatif,

Attention aux répétitions et également à quelques fautes d'inattention.


Note: (7 / 10 = 17)  (3156 mots /22 = )
Résultat final: 17 + 22 = 39 PE
Félicitations!
Cordialement Uesugi Assia


Peak of Shinobi
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