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Big Takeshi is watching you (FB: Buraian Riigaru)
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Wuzuki Emiko
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Wuzuki Emiko
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J'suis un Pirate




∞ Retrouvailles alcoolisées



« Eh toi là, ouais toi miss. Oh ! Eh mamzelle putain ! Ouais c’est à toi que je parle. T’aimes bien les pirate je suis sûr. Tu veux voir mon trésor...? »


En grand tombeur de ses dames que j’étais, je me devais d’avoir un franc succès avec la gente féminine. Avec une telle approche j’étais certain de conclure. Et c’est ce qui arriva bien évidemment mais nous n’allons pas parler de cela. ceci terminé, je me suis retrouvé dans une ruelle menant à l’auberge et une troupe de sales lâches de bandits m’ont attaqués. Face à ma puissance sans commune mesure, ils ont eut la monnaie de leur pièce bien sûr. Malheureusement dans la bataille l’un de ces vils manants parvint à mettre un coup par surprise. C’est donc en boitant douloureusement que mes pas me ramenèrent au sein de mon domicile provisoire.


Très sérieusement je pense que personne n’est en mesure de croire une absurdité aussi aberrante. Voilà donc ce qui s’est passé. Takeshi a cherché à se taper une belle brune qui passait. Il l’a houspillé de la manière la plus vulgaire qui soit. Suite à quoi ce bougre de pirate n’est pas arrêté là. Pas le moins du monde froid aux yeux il a enchaîné en mimant une fellation forcé entra la bouche de l’inconnue et son entrejambe. Furieuse, elle s’est approchée et lui a littéralement explosé les bijoux de famille d’un coup de pied d’une puissance incroyable. Nul bandit dans cette histoire, juste un gros lourd, un pied et des dégâts. Voilà, je tenais à vous le préciser on ne sait jamais...


Faisant fi de la douleur je me suis retrouvé de nouveau à l’auberge. L’endroit était bondé. j’avais cru entendre qu’il y avait dans le coin un festival en rapport avec la fête des moissons ou une connerie du genre. Du coup tous les pèquenauds du coin se rendait en ville pour y assister. Foutus paysans de merde. Pour une fois que je pouvais prendre des vacances bien méritées après tous les exploits que je réalisais pour Suna (Sérieusement Takeshi ? Eh bah...). Et là bim avalanche de bouseux ! Peste, pensais-je en me dirigeant vers le comptoir. Quoiqu’il en soit il était grand temps de me désaltérer. Le coït ça donne soif vous savez. Ou bien peut-être l’ignorez-vous, mais alors en ce cas laissez moi rire (l’écoutez pas il a des problèmes d’impuissance, c’est pour ça qu’il compense). De mon haleine fraîche (je dirais putride) je commandais un godet à l’aubergiste. Un second accompagna rapidement le petit frère, puis un troisième, un quatrième et en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire, je me retrouvait complètement torché en train de chier sur une table. Chassé par l’aubergiste à coup de pieds au cul, je fus contraint de trouver un autre logement.


Mes pas me menèrent au Rat d'égout lubrique, un établissement fort respectable comme le laissait sous entendre son nom. J’y appris qu’il ne restait plus qu’une seule et unique chambre et qu’en plus de ne pas être donné, j’allais devoir la partager quand un second voyageur ou paysan du coin viendrait réclamer lui aussi le gîte. Certes ça me faisait bien chier mais bon j’allai devoir faire avec étant donné que j’étais persona non grata dans tous les autres établissements de la ville. Curieux vraiment, je n’avais pourtant rien fais de mal, ou rien de bien méchant en tout cas (hormis chier sur une table, casser une bouteille sur la tête d’un aubergiste, peloter la femme d’un autre, et voler les réserves de pâté d’un dernier pour les lancer contre le mur du premier en guise de vengeance ; trois fois rien en effet). Encore bien arrosé, je pris la décision d’aller me reposer dans ma chambre, emportant néanmoins une dernière bouteille de rhum pour passer la nuit. C’est comme une brique que je tombais de sommeil à peine le dos sur le matelas. Un bruit me réveilla subitement dans la nuit. Un homme venait de pénétrer dans la pièce. En un simple coup d’oeil je le reconnus de suite. Bondissant hors de mon lit, je fonçais vers l’individu en me cassant la gueule avant de l’atteindre. La tête entre ses pieds, je bavais sur ses sandales. J’eu seulement l’occasion de dire un mot avant de lui vomir tout ce que j’avais dans le ventre.


« Riri c'toi ! *Bleuuuurgh* »



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Buraian Riigaru
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Retrouvailles déplaisantes

C'était une journée pourrie, véritablement. La bonne fortune n'était pas avec moi, ce jour-ci. C'était il y a environ deux ans et demi, cela faisait peu de temps que j'avais été libéré de ma cellule. Le village était en train de se refaire suite à la perte subite du Yondaime et à l'affrontement chaotique que nous avions eu avec les shinobi de la Feuille. Beaucoup de mes camarades avaient péri au combat et Suna était tenu du mieux possible par les conseillers du village, dont Akihiko-dono, l'homme qui m'avait fait sortir de l'ombre pour combattre un peuple qui ne le méritait nullement. Il se trouve qu'il m'avait également permis de récupérer l'intégralité de mes richesses. Le vieux Gaio, ce qui ressemble le plus à de la famille pour moi maintenant que je n'ai plus aucun lien de sang avec quiconque, me rendit volontiers mon "trône", déclarant qu'il n'attendait que le retour de "Riigaru-sama", comme il m'appelait - comme bon nombre des employés de la Société Lezareno et de la Compagnie Buraian. Toutefois, avec le rôle de PDG de telles structures viennent certaines tâches obligatoires auxquelles je n'avais encore jamais goûtées.

Ainsi, lorsque des hommes d'affaire du Pays de l'Herbe demandèrent expressément à s'entretenir avec moi-même plutôt que de passer comme tout le monde par Gaio, qui restait à la tête des activités, je fus contraint d'accepter. Avec l'accord d'Akihiko pour m'absenter plusieurs jours, je quittai Suna en direction du nord, et c'est alors que les mésaventures commencèrent. Le voyage, long et pénible mais agréable de par les paysages variés que je rencontrai, fut calme. C'est cependant dès ma rencontre avec ceux souhaitant joindre leur entreprises aux miennes que tout se déroula mal. Je ne convainquis aucun de mes trois interlocuteurs qui, visiblement, semblaient bien plus intéressés par le fait de rencontrer le fameux Buraian riche et meurtrier que par la fusion entre nos sociétés. Je finis par m'emporter et, en plus de finir le repas seul et sans affaire conclue, j'effrayai un jeune couple du restaurant où je me trouvais qui partirent en courant avant d'être moi-même chassé de l'établissement.

De nouveau dehors à la tombée de la nuit, je me mis en quête d'un refuge pour dormir. Mais entre les auberges pleines à craquer et celles qui refusaient de faire entrer un homme enchaîné, peu importe la quantité d'argent qu'il pouvait leur donner, la tâche fut bien plus rude que je ne l'imaginais. Par ailleurs, en traînant dans un coin plutôt bien fréquenté, je me fis renverser à la sortie d'un bar par un homme qui déversa l'intégralité d'un demi-tonneau de vin sur moi. Trempé et légèrement frigorifié par le temps bien moins clément en ce lieu qu'en mon village - qui me manquait atrocement à cet instant -, c'est sans conviction et presque la larme à l’œil que je me dirigeai vers un véritable taudis de la région. Le "Rat d’Égout Lubrique", comme inscrit sur une pancarte rognée aux trois quarts par ce qui devaient être de vrais rats d’égouts, ressemblaient davantage à une ruine qu'à une auberge. Bancale et grinçante à la seule force du vent, on pouvait s'attendre à ce que l'ensemble s'écroule à tout instant. C'était toutefois habité et j'y entrai donc en vue de pouvoir me reposer. Quand on n'a rien d'autre, on fait avec ce que l'on trouve.

L'aubergiste, un homme trapu et édenté dans la quarantaine, front, nez et menton constellés de verrues, m'indiqua la chambre que je devais partager pour la nuit. Selon lui, elle était déjà occupée depuis plusieurs heures. Moi qui voulais être tranquille pour la soirée, cela semblait mal parti mais, si l'individu était présent depuis si longtemps, peut-être dormait-il déjà. Je me dirigeai vers la chambre et y entrai le plus silencieusement possible. Le fait est qu'avec mon poids et un parquet aussi minable, l'intégralité de ce semblant d'immeuble devait m'avoir repéré. A peine j'eus fait un pas dans la pièce que je vis l'occupant d'un lit bondir vers moi pour s'écrouler aussi tôt dans un bruit inaudible et ramper jusqu'à mes pieds. Le plus immonde et choquant, à cet instant précis, n'était pas mon colocataire de soirée mais l'odeur de la chambre. Si l'établissement en lui-même dépassait déjà toutes limites du terme "nauséabonde", ces quelques mètres carrés étaient bien pires : je crus perdre mon nez aussitôt, définitivement. Ceci raviva alors de vieux souvenirs, pas vraiment agréables. Je reconnaissais l'homme à mes pieds, et cela uniquement à l'odeur.

- Et merde. Telles furent les paroles souhaitant s'échapper de ma gorge. C'était court, simple et cela résumait plutôt bien toutes mes pensées du moment. Mais l'éducation qui m'avait été prodiguée bloqua ces deux simples mots pour les remplacer par d'autres. Takeshi ! fis-je, un sourire faux aux lèvres. Quel plaisir de te voir i... Je ne terminai pas ma phrase, mon pantalon venant d'être joliment décoré par les rejets gastriques du plus vieux Genin de Suna. Mon sourire disparut aussitôt tandis que je reculais d'un pas, passablement dégoûté. Tu as passé une bonne soirée, je vois ... En réalité, je n'en savais rien et je ne voulais pas savoir. Cinq secondes auparavant, l'odeur était le plus immonde, mais tout venait de changer. Je ne pensais plus à rien, j'ignorais tout, y compris ce qu'était Suna. La seule et unique chose dont j'étais sûre était que le lendemain, mes vêtements iraient au feu pour destruction totale.


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Wuzuki Emiko
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∞ Retrouvailles alcoolisées



La vache mais ouais c’était bien lui ! C’était lui ouais c’était lui ! Mon vieux pote Riri. Je ne l’avais pas vu depuis des années, des décennies peut-être bien. On aurait même dit qu’une vie entière s’était déroulé depuis la dernière fois. Il était toujours aussi baraqué ce con, enfin, même si je l’avais connu plus jeune et vraiment moins imposant. Bon trêve de niaiseries revenons à l’action. Comme vous vous en souvenez certainement, je me trouvais avachis entre les pieds de mon ami et je venais de lui vomir tout ce que j’avais avalé dans la soirée. Même moi je trouvais que ça puait. Oh c’était une horreur... Une infection comme on en voit rarement. Imaginez une odeur de rhum chaud et de la bouffe pas très saine ayant déjà bien macérée dans mon bide. Bref c’était vraiment crade. Même si c’était pas très simple dans mon état, je m’agrippais à la jambe droite de Riri pour me relever (Nul besoin de préciser que ce fut ridicule et que Takeshi se cassa à nouveau la gueule trois fois, n’est-ce pas ?). Remis sur mes pieds, je m’essuyais la bouche du vomis qui s’y logeait encore avant de poser mes mains sur les épaules du Sunajin.


« Oh cré nom d’un asticot en salade mais c’est toi mon Riri !!! »


J’étais tellement excité de le revoir que ne me contrôlais absolument pas (Ouais pour changer quoi...). J’étais comme un satané gamin devant ses cadeaux de noël ou comme un pédophile attendant à la fenêtre qu’il aille se coucher. Bref, j’étais super content !!! (Par contre ce qui n’est pas précisé, c’est qu’il venait de hurler droit vers le visage de son compatriote, et comme vous avez compris, il puait encore vraiment sévèrement de la gueule. Vous voyez, faut mélanger sa puanteur de base à ce récent évènement et ça devient inhumain). Pour fêter nos retrouvailles, je me retournais, et ni une ni deux, sortais deux bouteilles de rhum qui me restait de ma besace. C’était ma réserve de sécurité en cas de panne sèche. Puis en plus, c’était pas de la merde ça, du rhum pur qualité importé des plages du pays de la Terre attention ! Sans trop réfléchir, j’arrachais les bouchons de liège des deux bouteilles avant d’en offrir une à mon ami. Ceci fait je commençais à boire avant même de trinquer. Ahhhhh, un orgasme dans ma bouche..... Ayant fini ma première gorgée, je plongeais mon regard de braise dans celui de Riri.


« Bon sang, mais je pensais que t’étais en prison toi. Oh bordel ça fait un choc t’peux pas savoir mon ptit poisson des montagnes. Comment t’es sorti ? Puis attendant tu fais quoi ici ? Attends tu savais que j’étais là c’est ça ? Haha j’en suis sûr tu voulais voir ton vieux pote maintenant que t’es enfin sorti. MOUAHAHAHAHAHA je comprends. Wait, comment tu m’as trouvé mec ? »




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Buraian Riigaru
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Retrouvailles vomitives

Takeshi. Ce jeune garçon rêveur et un peu spécial que j'avais eu le malheur d'accoster un jour, dans ma jeunesse, lorsque nous étions tous deux à l'Académie. Il était stupide, à l'époque, mais était encore un minimum sain d'esprit. Des années de délires, d'alcool et de crasse ont fait de lui un déchet ambulant que tout le village préfère éviter. Encore Genin à trente six ans, et le pire Genin de Suna malgré vingt ans d'expérience à faire des missions de rang D, je m'en veux encore aujourd'hui d'être allé lui parler lorsque j'avais remarqué qu'il était l'un des seuls à se fiche de mon identité. J'avais très vite compris qu'il ne s'en fichait pas : il ignorait tout du monde. Malheureusement, quelques années plus tard, lorsque l'argent commença à être sa première priorité, il comprit vite qui j'étais. Pour ma part, je lui donnai de l'argent les deux ou trois fois où l'on se croisa, uniquement pour être tranquille et m'éclipser pendant qu'il comptait. Cela faisait maintenant bien treize ans que je ne l'avais plus vu. Mais en attendant, il est là, à mes pieds, tandis que j'ai l'impression de sentir mon pantalon fondre au contact de ses rejets. Et d'un autre côté, je viens d'entrer en apnée. Tant que je serai en sa compagnie, je respirerai par la bouche. Dans le cas contraire, je ne survivrai pas à la nuit.

Il se redresse péniblement, le visage dégoulinant d'une texture brunâtre. Lors de ses plusieurs tentatives de se relever, il s'est écroulé par terre, tête la première dans ce qu'il venait de relâcher. A présent debout, mais plus petit que moi, il pose ses horribles mains sur mes épaules - qui ne sont malheureusement protégées que par un très léger tissu - ... puis me hurle dans les oreilles tout en me postillonnant à la figure ce qui lui restait au fond de son gosier. Je ne peux m'empêcher de fermer les yeux aussitôt, à la fois pour éviter d'en recevoir dans les yeux et en pensant à tous les endormis de l'établissement qu'il vient de réveiller. Il ne remarque cependant rien et, alors qu'il me tourne le dos, j'attrape en vitesse un vieux torchon derrière moi afin de m'essuyer le visage avec dégoût. Dégoût ... Voilà un mot qui va être à l'honneur toute la soirée, qui promet d'être longue. Une fois "propre", pour ce qui est de ma tête tout du moins, je balance la serviette par la fenêtre, qu'elle puisse reposer en paix. Le Genin, qui se trouve être également mon aîné d'un an, revient alors vers moi avec deux bouteilles de rhum qu'il vient de déboucher. Poli, je prends celle qu'il me tend et le regarde avaler sa première gorgée. Quant à moi, je finis par renifler le contenu de la bouteille et ne peux m'empêcher de grimacer : avec un tel breuvage, il n'est pas étonnant de voir les dents du pirate s'enfuire une par une.

Enfin, le fameux "pirate du désert" - qui possède un bateau semble-t-il, preuve de son crétinisme parfait - enchaîne pour la première fois plusieurs mots d'affilés dans un langage correct, quoique certaines paroles soient, disons ... oui, stupides, pour changer. En prison ? Oui j'y étais, et ce soir, j'adorerais y retourner. Takeshi est faible, il me suffirait de l'étrangler avec mes fers sans qu'il ne puisse faire quoi que ce soit. Je suis extrêmement honteux de ce que j'ai commis il y a dix ans et je veux tout faire pour me racheter de mes crimes. Mais étrangement, en face de ce compagnon d'armes, je n'arrive pas à éprouver le moindre remord à l'idée d'y penser. Comment l'ai-je trouvé, me demande-t-il ! Si j'avais vraiment été à sa recherche, je lui aurais répondu "A l'odeur" ou bien "Aux dégâts que tu as créé dans les alentours", car il n'y a nul doute que de nombreuses personnes doivent avoir souhaité sa disparition dans la soirée.

- Par hasard, lui fais-je en ignorant le surnom pitoyable ainsi que la folle pensée que je suis ici pour lui. J'ignorais que tu étais là, aussi loin de Suna, sinon ... Je ne termine pas ma phrase, pour laquelle j'ai des centaines d'idées. Je baisse mon regard vers la bouteille que je tiens entre mes mains et en bois de grosses gorgées. Je vais avoir besoin de ça plus que de courage, ce soir.


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Dernière édition par Buraian Riigaru le Jeu 11 Fév - 21:39, édité 1 fois
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∞ Retrouvailles alcoolisées



Quelques mots et Riri commençait déjà à se pinter la gueuler. La vache il m’avait manqué ce grand con. M’enfin bon ça pouvait se comprendre qu’il se rue aussi vite sur mon délicieux nectar, après tout ce temps passé derrière les barreaux... Ainsi donc il n’était pas là pour moi ? Trouvé par hasard ? Bah la vache mon coco elle faisait bien les choses sa bonne fée. Trouver un être d’exception comme moi dans ce pays crasseux, il devait être aux anges. Comme il buvait, je repris quelques gorgées de rhum. Waw c’était trop bon ! Boire avec un ami y’avait vraiment rien de meilleur au monde. Mon regard trahissait mon état d’ébriété déjà avancé. Même si je restais vraiment très conscient vu la dose d’alcool déjà présente dans mon sang.


« Sinon tu m’aurais ramené d’la bonne bouffe pour qu’on partage un repas ensemble c’est ça ? MOUAHAHAHAHAHA sacré Riri va ! »


Mon regard se porta sur ses vêtement alors que je continuais de picoler. Il avait l’air miteux habillé comme ça. On aurait dit une espèce de paysan sorti de sa campagne qui aurait volé les vêtement de son enfant en bas âge. C’était la honte... Une seconde il était pas sensé être riche ? Bah pourtant si... Non ? Merde j’avais un doute là. Il était riche ou pas ? Oh merde ma mémoire défaillait, il était sacrément costaud ce tord-boyaux ! Mon regard devint soudain plus sérieux que d’habitude. Il s’emplit d’une certaine sagesse (Aussi étonnant que ça puisse paraître, parfois quand il est ivre, Takeshi devient «normal» le temps d’un instant, moi même j’ignore pourquoi, mais ça dure pas longtemps rassurez-vous). D’une voix grave je m’exprimais.


« Après toutes ces années en prison, tu crois avoir expié ton pêché misérable meurtrier....?»


Puis soudain, plus rien, j’me souvenais plus de la dernière minute. La vache, il me regardait d’une drôle de manière. Waw j’en aurais eu le sang glacé si je n’avais pas été un si grand Capitaine ! Sans rire c’était vraiment étrange comme situation. On aurait dit que quelqu’un avait pété ou un truc du genre. Pourtant c’était pas moi (Pour une fois...).


« Bah quoi ? Qu’est-ce que t’as mon Riri ? »




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Retrouvailles vomitives

Le prétendu "Pirate du Désert" me regarde d'un air béat tandis que je réponds à sa question idiote tout en buvant quelques gorgées de cette boisson infâme. Ce n'est qu'après avoir avalé que je regrette mon geste. Ce rhum, comme il le nomme, me brûle la gorge et me pique le nez et les yeux. Je me retiens avec grande peine de lui recracher l'ensemble à la figure. Peut-être ce nectar était-il bon lorsque Takeshi l'a acheté, mais, à l'instar de tout ce que touche le Genin, il a du pourrir aussitôt en sa possession. Mes pensées se brouillent déjà tandis que je baisse les bras en éloignant le goulot de mes lèvres ; il est hors de question que j'avale la moindre goutte supplémentaire de ce truc. Un immense sourire dessiné sur son visage, comme à chaque fois qu'il se retrouve face à moi malheureusement, l'autre Sunajin ne semble pas remarquer que j'ai failli m'étouffer et poursuit la conversation d'un ton joyeux. De la nourriture pour lui ? Je viens de lui dire que je ne savais pas qu'il était là, comment aurais-je pu prévoir à manger pour deux personnes ? Je n'ai déjà rien prévu pour moi, sortant tout juste d'un restaurant bien plus haute gamme que cet établissement.

Je m'apprête à répondre le plus maladroitement possible, afin de lui expliquer une bonne fois pour toutes que j'ignorais tout de sa présence en ces lieux, lorsque je discerne un changement significatif chez mon interlocuteur. Plusieurs changements, pour dire vrai. L'instant d'avant, mon compagnon tenait à peine debout, le regard vidé de toute intelligence porté sur ma tenue, penchant un moment sur la droite, puis sur la gauche, la bouche légèrement entrouverte. A présent, il est stable, fixe, et s'est dressé de toute sa hauteur. Bien que toujours plus petit que moi, je me rends compte subitement qu'il reste un homme imposant lorsqu'il se tient correctement. Ses yeux sont de nouveau plongés dans les miens mais, pourtant, je ne reconnais pas l'homme qui s'adressait à moi jusqu'alors. Les sourcils froncés, son regard est sérieux, plus froid et - véridique - profond. Lorsqu'il ouvre la bouche, c'est d'une voix aussi grave et calme que la mienne qu'il finit par s'exprimer. Sa question en elle-même, qui me pique à vif, a un effet aussi troublant que son allure. Plus de surnom stupide, plus de propos inutiles. C'est en me nommant "misérable meurtrier" qu'il me demande si j'estime avoir purgé ma peine et m'être racheté.

Sous le coup de la surprise, j'ouvre de grands yeux. N'importe qui à Suna connaissant cet homme ferait de même en assistant à cette scène. Et que lui répondre ? Bien sûr que non, je n'ai pas suffisamment payé pour mes crimes. Certains peuvent bien avoir décidé de me pardonner, je suis bien le dernier qui le fera. Mais est-il possible de parler de cela avec Takeshi, plus grand cancre, ignare et soûlard du Sable ? Les secondes suivantes m'indiquent clairement ... que non. Takeshi cligne bêtement des yeux pour reporter un regard délirant sur moi. Il me demande alors ce qui ne va pas. Ne se rappelle-t-il plus des trente dernières secondes ? Je l'observe, incrédule, alors qu'il peine de nouveau à rester debout. Mon regard se porte sur la bouteille d'alcool qu'il tient nonchalamment dans les doigts de sa main droite. La prise n'est pas ferme, loin de là, et une idée soudaine me vient. Oubliant toute idée de réponse à chacune de ses questions, et avec un sourire sadique marquant à présent mon faciès, je me précipite rapidement en avant et donne un rapide et léger coup de pied ascendant sous le fond de la bouteille. Celle-ci lui échappe instantanément des mains et, avant même que son esprit embrumé par des heures de dépravation ne réagisse, je l'attrape sans peine au vol et recule de deux pas. Au creux de mes mains liées se trouvent dorénavant les deux récipients de rhum. J'ai une idée.

- Voilà, Takeshi, lui fais-je en souriant légèrement. On va faire un jeu, okay ? Il vaut mieux le présenter sous cette forme, j'ai plus de chance de capter son attention. Après tout, le Pirate du Désert est encore un grand enfant, surtout avec plus d'alcool que de sang dans son organisme. J'attends un peu le temps qu'il se remette de la perte de sa boisson et qu'il assimile toutes les informations, et poursuis. On peut parler de tout ce que tu veux ce soir, absolument tout, mais on va le faire correctement ... et proprement, ajouté-je en repensant aux premières secondes en sa compagnie. On va se comporter dignement, comme j'ai été élevé, ce qui n'a malheureusement pas été ton cas. Mais ce n'est pas trop tard ! Donc, à chaque fois que tu feras une ou plusieurs phrases d'affilées en restant poli et correct, tu auras droit à une gorgée de rhum, indiqué-je en levant quelque peu les bouteilles que je tiens. En revanche, à chaque faux pas ... Encore une fois, je n'achève pas ma phrase. Néanmoins, debout devant l'entrée, je lève doucement ma jambe droite devant moi et ne tiens plus que sur un pied. Un nouveau sourire sadique aux lèvres, j'espère lui faire comprendre quelle sera sa punition. Je souhaite voir si Takeshi est capable de se comporter normalement, sérieusement, comme il l'a fait durant trente courtes secondes. Ce serait un progrès pour tout Suna si nous le découvrions en cette soirée. Peut-être pourrions-nous faire quelque chose de lui, finalement ... Cependant, quelle que soit la réponse, je suis gagnant : soit il est possible d'avoir une vraie conversation avec le Genin et, dans ce cas, je passerai une bien meilleure soirée que je ne l'espérais ; soit il est réellement irrécupérable et, au final, il finira assommé sous ma botte.


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Dernière édition par Buraian Riigaru le Jeu 11 Fév - 21:46, édité 2 fois
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∞ Retrouvailles alcoolisées



Riri avait une drôle de tête. Je ne comprenais pas pourquoi. Il allait mal ? Il était fatigué ? On avait chié dans son café ? Chais pas ce que ça pouvait être mais quelque chose semblait étrange. Ou bien il avait un truc en tête ? Son cerveau ? Ahahahaha elle est naze cette blague hahahahah... Bon stop les conneries. Perdu dans mes conjectures, je ne le vis pas agir. Soudainement, il se leva et fit voler ma bouteille hors de mes mains. Que ? Quoi ? Mais... Bah pourquoi ? Elle lui atterrit directement entre les siennes. Il en avait à présent deux. Il avait si soif que ça ? Bon sang je sais bien que mon rhum était super bon, mais c’était pas des manières ça enfin ! J’allais m’énerver s’il ne me rendait pas mon alcool de suite.


Mon ami m’expliqua alors ce qu’il prévoyait. Du chantage. Purement et simplement, y’avait aucun autre mot pour définir son acte. Il me menaçait très clairement. Je compris vite la situation. Si je devenais poli comme il le désirait, il me donnerait à boire. Et j’avais soif, putain mais trop soif quoi... Mais si j’étais pas poli il allait me défoncer la gueule je le voyais venir gros comme le Sunajin Volant. Oh putain le dilemme... Que faire ? Boire sans perdant ma fierté ? Ou ne pas boire et la garder . C’est important la fierté. ouais mais l’alcool aussi... J’étais perdu. Mon regard triste se posa dans celui de mon «ami».


« Eh mais...je... Riri...pourquoi tu... je... »


Impossible de trouver mes mots. La pression était trop grande. Comment ne pas faire d’erreur. Quel était réellement le bon choix. Que fallait-il que je fasse au final ? Fierté ou alcool. Quel choix cornélien. Mon corps se mit à trembler. De grosses gouttes de sueur perlèrent sur tout mon corps. le bon choix, je devais faire le bon choix. Soudain, ma vue commença à s’obscurcir. Que se passait-il ? Je ressentis une vive douleur à l’arrière du crâne et plus rien. Le noir total, le silence et la paix (Si c’est pas clair pour vous, sous la pression, ce minable pirate à deux ryos venait tout juste de s’évanouir, visiblement le choix était trop dur pour lui...).




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Buraian Riigaru
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Date d'inscription : 14/12/2015
Localisation actuelle : Abords du désert de Suna, dans le repaire d'Akatsuki.

Fiche Shinobi
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Big Takeshi is watching you (FB: Buraian Riigaru) NJ7MbV0142/500Big Takeshi is watching you (FB: Buraian Riigaru) Up4Qf5Y  (142/500)

Retrouvailles vomitives

Je pense bien des choses négatives de mon interlocuteur. Cela va même au-delà de la négativité. J'ai par ailleurs eu l'occasion de voir tout type d'être humain avec le temps : les impatients, les dégénérés, les sages, les calmes, les violents, les inutiles, les discrets, les bruyants, les timides, les exubérants, les comiques, les sérieux ... Je possède, dans ma tête, au moins un visage à placer sur chacune de ces catégories, et même d'autres. Telle est la diversité de l'Homme, parfois pour le meilleur, parfois pour le pire. Il y a toujours du nouveau provenant de lui. Takeshi, pour sa part, est désormais inclassable. Tandis que je le rentrais dans la catégorie "déchet" - aussi bien physiquement que mentalement - jusqu'à ce jour, je me vois contraint de réviser ma décision. Cela fait pourtant plus de vingt ans que je le connais, mais même après toutes ces années, il arrive encore à me surprendre. Dans le mauvais sens du terme ...

Je suis donc face à lui, deux bouteilles de rhum dans les mains, et viens de lui exposer mon défi. Un challenge que l'on ne devrait pas avoir à proposer à un enfant de cinq ans, donc encore moins à un ninja de trente-six ans. Un dilemme pour cet homme qui ne devrait pas en être un. Et pourtant, le voici qu'il me regarde la bouche entrouverte avec de grands yeux ronds. Je pourrais presque voir un filet de bave. Dans l'incompréhension totale des événements qui viennent de se dérouler en une seconde, il pose sur moi un regard triste semblable à celui d'un chiot ... mais loin d'être aussi attendrissant. Bafouillant quelques paroles et pointant d'un doigt fébrile son alcool et ma personne à tour de rôle, il semble paniquer. Pour ma part, j'ai l'impression d'être de nouveau jugé coupable de meurtre de sang froid, mais par un gamin de huit ans. La scène en serait comique si la suite n'était pas désespérante à souhait.

Car le pirate commence à chanceler dangereusement - plus que sous l'effet de l'alcool je veux dire. Je le vois transpirer abondamment, quelques gouttes de sueur perlant sous ses cheveux blonds désordonnés particulièrement gras. L'odeur de la sueur ajoutée à toutes les autres émanant de son être, ce ne doit pas être joyeux. Le Genin roule alors des yeux ... et s'écroule simplement en arrière, son crâne velu et repoussant heurtant violemment le sol dans un bruit sourd. Ce bruit est si plaisant, en l'occurrence, qu'un sourire se peint malgré moi sur mon visage un court instant. En temps normal, on pourrait penser que cet évanouissement est dû à la surdose d'alcool suintant par tous les pores du rebut, mais il n'en est rien. Le réponse est bien plus simple, j'en suis persuadé : j'ai proposé deux solutions à un idiot et, après surchauffe de son cerveau, il a choisi la troisième car incapable de se décider. C'est pourquoi, suite à mon bref sourire moqueur, j'en suis réduit à faire ce que les jeunes appellent aujourd'hui un facepalm ; après avoir lâché sans concession les deux litres de rhum, mes deux mains liées - aussi grandes que les pieds d'un être humain de taille ordinaire - viennent s'écraser bruyamment sur mon visage dans un geste de navrante désolation. C'était un simple test et il a échoué de façon plus spectaculaire que je ne l'imaginais.

Tout n'est pas perdu, cependant, si ce n'est l'intérêt que le village de Suna aurait pu porter à cet ivrogne. En effet, sans même avoir eu à le frapper, le plus vieux Genin du Sable se trouve temporairement dans un autre monde. L'occasion que j'espérais est donc arrivée bien plus tôt que prévu. Arrachant rapidement mon haut dégoulinant d'alcool renversé plus tôt dans la soirée et tâché par endroit de rejets du blondinet, je le jette dans un coin de la pièce et me retrouve en un éclair au niveau de la fenêtre. Je l'ouvre en grand, dans un premier temps en imaginant que cela ne ferait pas de mal étant donné le mélange d'odeurs pestilentielles de la chambre, puis passe à travers et, après une courte chute, je me retrouve à l'air libre. Cette fois-ci, je n'aurais passé que cinq minutes en présence de Takeshi, ce qui est un record. A présent, l'objectif est de mettre le plus de distance entre lui et moi. J'utilise le Koton sur le haut de mon corps afin de me protéger un minimum de la fraîcheur de la nuit. Je cours, bien que ce soit probablement inutile : le Pirate du Désert est lent et, s'il se réveille, il commencera probablement par me rechercher dans la pièce en imaginant que je joue à cache-cache avec lui, avant de pleurer durant une bonne heure et demi sur le rhum répandu sur le sol. J'espère bien que je n'aurais plus jamais à le croiser ...

- Takeshi ... marmonné-je d'un air désolé en m'éloignant. Irrécupérable.


NenaKonstanZ

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Correction de Buraian Riigaru

Positif


Bonne maîtrise du français!
C'est fort plaisant de voir ton personnage dans ce genre de situation. J'ai déjà vu le Rii tragique, voici le Rii du quotidien, plus léger sans perdre son élégance.
Très bon rp, même si je m'attendais à ce que le "misérable criminel" te touche plus que ça.


Négatif


Très peu de fautes, mais elles sont toutefois là : "Suna était tenu..." (tenue)  / "...l'un des seuls à se fiche ..." (ficher?) , ect. C'est vraiment minime, et surtout aucune de ces erreurs ne gènent la lecture.


Gains


Cela vous fait cher Roméo 41 pe



Correction de Takeshi

Positif


Ton personnage est vraiment génial, et j'ai été particulièrement surpris par ce pique de lucidité. Cela laisse présager des possibilités d'évolution, et une facette encore inconnue de Takeshi. M'enfin, nous ne saurons jamais!
Ton style quand à lui est toujours aussi agréable.


Négatif


Il y a quelques fautes d'inattention tout au long du récit. Il n'y en a pas énormément, mais elles auraient pu être évitées avec une relecture plus assidue.
Dommage, car tu écris vraiment bien, du coup tes erreurs sont d'autant plus surprenantes.


Gains


Cela vous fait cher pirate 29 pe


Kakuzu

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