Ma mission enfin terminé, je fis aussi tôt mon rapport à l’hokage. Une fois mon rapport bien rendu, je décidais de ne pas directement en demander une autre, et retournais à la maison me reposer. Cela faisait bien longtemps que j’enchainais les missions à répétition, sans prendre de pause, mais là je ne m’en sentais plus capable. Il fallait absolument que je prenne un de repos, au risque de flancher.
Une fois sorti du bureau du haut gradé, je me dirigeais vers l’appartement, je marchais en baillant, j’étais extenué. Une fois devant la porte de l’appartement, je saisis la clé de celle-ci, puis l’insérais dans la serrure avant de faire un double tour vers la gauche avec celle-ci. La serrure déverrouillé, je mis ma main sur le poignet de la serrure, avant d’appuyer dessus.
Comme ce qu’elle est censé faire une fois tous ces actes accompli, la porte s’est ouverte. La lumière du jour éclairait le salon, et toute la maison. J’entrais dans la maison et refermais derrière moi, puis je me dirigeais vers la chambre. Tout était très normal, jusqu'à ce que je me laisse tomber sur le lit, puis mis la main sur mon livre.
Il y avait de la poussière dessus, je vérifiai que cela provenait bien du livre, et c’était bien le cas. Je fis donc un bond de mon lit, avant de me rendre a mon étagère de livres, et là, tous les livres étaient dans le même état. Je commençais alors lentement à me déshabiller, jusqu'à rester torse nu. La poussière n’étais pas énorme, j’étais très fatigué, certes mais j’aimais quand c’étais propres, car ma mère aimais quand c’était propre.
Je pris alors trois torchons que j’attachais à mon pantalon, puis mon pinceau et m’armais d’un saut et de l’au savonné, je comptais accomplir minutieusement cette mission de rang H. Je dépoussiérais tous mes livres un par un, et presque page par page, puis s’étais au tour du leurs étagère. Une fois le compartiment livre terminé, je devais attaquer la chambre et tout ce qui va avec, puis la salle de bain, ensuite le salon, la cuisine.
Il ne s’agissait plus là d’un dépoussiérage de livre, mais c’était devenu, un ménage général. Je me forçais à surpasser mon état de fatigue, et j’y arrivais tant bien que mal. Je nettoyais la chambre, du plafond jusqu’au sol, de coin en coin, mur par mur et sans oublier les fenêtres. Quand j’eu terminé la chambre, le soleil brillait toujours et ma chambre en était son image sur terre, elle brillait aux mille éclats, m’en aveuglais presque.
Ma chambre étais devenu un temple divin, mais on ne peut pas en dire autant pour moi, j’avais atteint une ressemblance exact avec un zombie, j’avais des cernes immense, et mes yeux étaient a mis ouvert. Malgré cet état de ma personne, je n’abandonnais pas et continuait, je me dirigeais désormais vers le salon. Je mettais de nouveau tout mon ardeur et mon énergie à redonner leur éclat aux meubles.
Mon corps commençait à refuser de m’obéir plus je progressais, mais je dominais celui par la puissance et la royauté et l’âme, et de la volonté. Mon corps obéissais de nouveau, peut être contre son gré, mais je continuais mon nettoyage, jusqu'à ce que m’écroule sans passer par la phase étourdissement. C’était une chute directe, et en un instant j’étais au sol, et des ronflement titanesque résonnais dans la pièce.