Quand je terminais mon entrainement, j’avais encore un peu d’énergie pour courir le tour du terrain d’entrainement. J’aimais bien continuer de m’échauffer un peu après l’entrainement, mais il n’était pas aussi rude que d’habitude. Mais bon, je pensais plutôt que c’est parce que j’étais déjà habituer a mon entrainement, sans sensei on n’a pas vraiment un entrainement qui puisse mettre a l’épreuve toute nos capacités. Quelles soit physiques ou psychologiques ce que nous nous faisons subir devenait souvent une habitude. Mon entrainement ne consistait que de trois phases. Tout d’abord je m’échauffais avec une bonne trentaine de tours du terrain, puis je faisais des pompes parfois j’en faisais 30 quand je n‘étais suis pas en forme. J’en faisais 40 quand j’étais en forme et 50 voir plus quand j’étais au top de ma forme. Après mon échauffement je commençais mon entrainement au lancer de shuriken pour améliorer ma précision. Puis pour le dernier round je m’entrainais à frapper dans un sac de sable. J’avais beau frapper ce sac depuis déjà un bons bout de temps mais le sac ne lâchait pas. J’ai donc décidé de l’exploser ce jour et c’est ce que je faisais après environ trois ou quatre heurs. J’allais laisser tomber mais je me suis souvenu, qu’il fallait que je devienne plus fort afin de pouvoir chercher et retrouver mes parents et devenir un grand shinobi. J’étais de nouveau déterminer et prêt à en découdre avec ce sac, je concentrais mon chakra dans mes poings et je frappais le sac je le sentais prêt à exploser sous mes coups. Quelle que minute plus tard j’avais réussi à le faire. J’étais essoufflé, épuisé, exténuer, malgré sa je m’étais relever avec la ferme intension de faire mon dernier échauffement.
Je courrais avec le peut d’énergie qui me restait, après cela je me dirigeais vers le lac pour m’y reposer et tout en le faisan je contemplais la beauté du coucher de soleil. Des brizes si douce passais que je ne voulais plus me lever et retourner chez moi, ce que je voulais à cet instant précis c’était me laisser porte par les brizes qui passait.