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Buraian Riigaru
風 | Suna no Jônin
風 | Suna no Jônin
Buraian Riigaru
Messages : 57
Date d'inscription : 14/12/2015
Localisation actuelle : Abords du désert de Suna, dans le repaire d'Akatsuki.

Fiche Shinobi
Rang: A
Ryos: 24
Expérience:
Destruction et renouveau [FB#2] NJ7MbV0142/500Destruction et renouveau [FB#2] Up4Qf5Y  (142/500)

Destruction et renouveau [FB#2]    Lun 25 Jan - 20:50
Destruction et renouveau

La soirée est calme, comme toujours au village. J'ai passé la journée à gambader dans les rues, en espérant pouvoir me rendre utile en l'absence de mission. Depuis quelques temps, une partie des villageois récupère la confiance qu'ils avaient en moi. Bien que plus effrayant - physiquement parlant - qu'avant mon incarcération il y a treize ans, je n'ai pas changé en ce qui concerne mon caractère. Je ne suis plus vêtu comme avant, certes, et ces lourds fers que je garde en guise de pénitence aux poignets ne cessent de rappeler à tous mon ancienne condition et mes crimes. Mais il ne faut pas juger un homme de par son passé ou son apparence et certains habitants de Suna, heureusement pour moi, le savent. Ainsi, c'est volontiers qu'ils acceptent mon aide pour porter des charges lourdes ou encore aider au marché, et cela me fait du bien. Enfant, choyé comme je l'étais dans cette immense bâtisse comptant des dizaines de pièces inutiles, je n'avais pas l'occasion de côtoyer les gens simples. Par la suite, en arrivant à Suna, libre, je constatai que ces enfants, moins riches et gâtés que je ne l'avais été, n'en étaient pas plus malheureux pour autant, au contraire.

Ma dernière activité du jour a été de jouer avec un groupe d'entre eux, justement. J'aime les enfants, leur innocence, leur pureté, leur joie de vivre. Je souhaiterais qu'ils restent ainsi, même si je sais que ce monde les changera tôt ou tard. Pour ma part, j'aurais vraiment aimé en avoir, un jour. Il n'est pas trop, c'est vrai, mais la seule femme avec qui je souhaitais partager ma vie se trouve sous une importante couche de sable, perdue au milieu de nombreuses autres pertes lambda. Couché sur un large canapé situé en plein centre de la pièce principale de ma grande demeure, que j'habite avec quelques serviteurs, je regarde le plafond en repensant à elle, comme tous les soirs. Ses cheveux roses, son regard innocent et, malgré elle, serviable, son doux sourire timide ... Elle me manque, toujours.

- Arishia ... Quelle serait notre vie, aujourd'hui, si tout cela n'était pas arrivé ? demandais-je à haute voix dans le vide, les yeux fixes. A l'extérieur, j'entends des pétarades mais je n'en ai cure, perdu dans mes pensées. Y aurait-il un ou deux petits Buraian en train de courir partout à cette heure ? Ou peut-être plus. Nous n'avons pas eu le temps d'en parler à l'époque, nous étions jeunes. Toi, surtout. Des voix s'élèvent au dehors. Quelques villageois en train de s'amuser, en famille. De famille, je n'en ai plus, et n'en aurai jamais. Nous ne le saurons jamais. Mais ça ne m'empêche pas d'y penser, Arishia. Soudain, un bruit assourdissant, bien au-deçà de ce que j'entendais jusqu'alors. Je me lève en sursaut et voit aussitôt ce qu'il se passe par la fenêtre. L'instant d'après, ma demeure, pourtant isolée du village, est intégralement soufflée par une vague de chaleur destructrice. Ma vue se brouille, mais je réagis tout de même à temps pour me protéger, changeant l'intégralité de ma peau en métal résistant. Mon poids, alors plus élevé, reste toutefois inutile et je me sens transporté sur plusieurs dizaines de mètres en arrière. Alors que je retouche le sol, je sens de nombreuses masses s'écrouler sur moi : ce qu'il reste de ma maison me retombe dessus.

Il me faut plusieurs secondes pour retrouver la possibilité de bouger sous cet amas de pierre. Grâce au don hérité de ma mère, je suis intact, je ne souffre pas. Sans lui, je serais mort. Brutalement, dans un mouvement de rage et de panique mêlées, je me redresse, envoyant valser les débris qui me retenaient. A présent à l'extérieur, je regarde avec incompréhension ce qui me fait face. D'où je suis, aux abords du village et en surplomb, je suis dans la capacité d'apercevoir l'intégralité du village de Suna. Le fait est qu'en cet instant précis, il n'y a plus de village. Je ne vois devant moi que ruines, poussière et chaos. Au dessus de tout cela néanmoins, et malgré l'épais nuage grisâtre qui recouvre la région, j'aperçois deux êtres suspendus dans les airs. Je suis bien trop loin pour ne voir quoi que ce soit, mais j'imagine naturellement qu'il s'agit de Gaara-sama et de son ennemi, probablement un membre de cette organisation, Akatsuki. Ce sont eux qui ont fait ça. Mais ce n'est pas tout : après seulement trois courtes secondes d'observation, je vois le Godaime Kazekage disparaître instantanément. A sa place se trouve désormais le redoutable Ichibi, libéré par la probable colère de son hôte. La situation est catastrophique, mais que puis-je faire ? J'entends un bruit à ma droite, comme un marmonnement. Lâchant aussitôt du regard le nouvel affrontement qui s'apprête à commencer, je discerne à quelques mètres de moi quelqu'un, au sol. Je m'en approche rapidement.

- Riigaru ... sama ... C'est l'une de mes servantes en cuisine, gracieusement payée pour nourrir tous les habitants que ma maison - mon ancienne maison - peut accueillir. Comme prévu, vous n'avez ... rien. Je ne peux malheureusement pas en dire autant d'elle. La partie inférieure de son corps est coincée sous une tonne de débris tandis que son bras gauche semble avoir été tranché net lors de l'explosion. Je la regarde, impuissant, baigner dans son propre sang. J'ai connu cette femme toute ma vie. Lorsque j'étais enfant déjà, à Altamira, elle était celle qui m'apportait tout ce que je désirais manger et ce pour mon plus grand plaisir. Capable de cuisiner n'importe quel met délicieux, il lui était même arrivé de le faire en cachette lorsque mes parents estimaient que j'avais suffisamment mangé. Elle était en quelque sorte une nourrice, parmi d'autres, mais elle avait immédiatement accepté de m'accompagner à Suna pour, disait-elle, continue de veiller à ce que je me nourrisse bien.

- Raima, ne parle pas, lui fais-je en posant ma main sur son corps tâché de sang. Des hurlements démoniaques se font entendre au loin, accompagnés de bruits assourdissants de géants. Mon attention reste cependant centrée sur cette seule personne. Ne fais aucun mouvement, on va vite s'occuper de toi, fais-moi confiance.

- Vous êtes comme ... mon second fils, déclare-t-elle alors en soulevant péniblement sa main restante vers mon visage. Je l'attrape et la serre tendrement entre les miennes. Je ne compte pas l'abandonner, pas maintenant que c'est la fin. Faites attention ... Puis elle s'éteint sur ces paroles. Il me faut plusieurs secondes avant de le réaliser, son visage ayant gardé cette même expression tendre qu'elle a toujours affiché à mon attention. Son regard sans vie reste plongé dans le mien. Alors, doucement, je repose sa main et me redresse, abasourdi. Et enfin, je me réveille : j'aurai tout le temps qu'il faut pour la pleurer elle, ainsi que les autres, plus tard. En attendant, si je ne peux rien faire au sujet du combat de titans qui fait rage en plein cœur du centre ville, je sais que je ne peux être le seul survivant du village. Parmi ceux-ci, certains ont besoin d'aide, je dois donc agir.

- Toujours, marmonné-je en adressant un dernier regard à Raima. Je me redresse et me dirige à toute vitesse vers le coeur du village. Un peu partout, je croise des Sunajin, ninja ou civils, totalement décontenancés par les événements. Ceux n'ayant pas besoin de mon aide, je les laisse s'abriter seuls en leur demandant de s'éloigner et de se diriger en bordure du village. Par moments, il m'arrive d'aider un habitant à se relever ou à s'extirper d'un obstacle. Ma grande force physique est, pour ceci, un atout. Plus j'avance, plus le nombre de cadavres que j'aperçois est important, et plus dangereuse est ma position. Shukaku déchaîne sa colère en affrontant à présent un immense démon blanc à trois têtes de serpents. C'est inhumain ... Je ne parviens pas à voir à plus de dix mètres devant moi tant la poussière et le sable dans l'air obstruent tout. Le sol tremble à chaque mouvement des monstres et il semblerait que Gaara-sama se soit abandonné à sa colère : il a oublié qu'il peut y avoir de nombreux survivants dans la zone qui doivent être évacués. Enfin, ce que j'aperçois me brise le coeur. A la recherche de survivants malgré la présence proche des géants, je tombe sur la pire des visions. Au sol, face contre terre, se trouve un enfant. Un jeune enfant ... Je me précipite vers lui afin de le retourner pour l'aider, mais il n'y a plus rien à aider. Ce petit garçon est déjà mort, peut-être même sur le coup. Son visage est en grande partie brûlé, mais cela ne m'empêche pas de le reconnaître : il est l'un de ceux avec qui j'ai joué en fin d'après-midi. Il s'appelait Mamoto et n'avait que cinq ans.

Je le repose délicatement. Mes yeux commencent à s'humidifier, ce sont des larmes de tristesse et de rage. Une rage que je n'ai jamais connue auparavant. Lorsque je supprimai ces personnes il y a plus d'une décennie, le seul sentiment que je portais en moi était la honte. Et lorsque je retrouvai le corps sans vie de ma bien-aimée, seul l'accablement me frappa, ceci agrandissant davantage mes remords. Aujourd'hui, tout est différent. Akatsuki est bien différent de ceux qui m'enlevèrent Arishia. Akatsuki mérite l'annihilation pour de tels actes.

Un peu plus loin, j'entends des cris déchirants. Un autre enfant, sans aucun doute. Je me précipite tout en essayant de ne pas regarder en arrière ce petit être que je laisse. Je ne dois pas y penser pour le moment. Je découvre alors une fillette, légèrement plus âgée que le malheureux que je viens d'abandonner. Par je ne sais quel miracle, elle est absolument indemne. Toutefois, à genoux devant celle qui semble être sa mère, elle tire de toute ses forces sur le bras de celle-ci. Levant la tête, je constate qu'Ichibi et l'hydre ne sont qu'à deux cents mètres tout au plus. Il est inutile de faire quoi que ce soit pour la jeune femme, elle aussi a dû périr instantanément. J'attrape donc la petite fille et la soulève pour l'entraîner avec moi. Elle se débat mais ses petits poings ne font que me caresser. Dans mon dos, j'entends soudain un craquement retentissant. Je me retourne à temps pour voir une tête reptilienne de la taille d'un petit immeuble se diriger droit sur nous. Le Bijû vient de décapiter l'hydre d'un simple coup de poing. Ma peau se durcit de nouveau tandis que je viens placer l'orpheline au sol. Me penchant au dessus d'elle afin de la protéger intégralement, j'attends le choc, qui ne se fait pas attendre. Mon corps s'enfonce dans le sol sous ce poids sans précédent. L'enfant doit être secouée, il est vrai, mais au moins elle est sauve, pour le moment. Il me faut maintenant trouver un moyen pour sortir de sous terre ...


2 jours plus tard ...


- Ah, Riigaru, tu es venu, me fait l'un des nombreux conseillers du village. Etant donné la destruction du village, et afin de garder un poste de commandement, une imposante tente a été déployée en plein centre du village, là où se trouvait encore le palais du Kazekage quelques jours auparavant. Gaara-sama a été enlevé, Shukaku ayant perdu face aux explosions de celui dont on connaît dorénavant l'identité : Deidara d'Iwa. En son absence, c'est aux hauts conseillers du village de gérer la crise actuelle et, notamment, la protection des frontières et la reconstruction du village. En temps normal, Akihiko-dono, mon libérateur, est le président de ce conseil. Il est considéré par tous comme étant le numéro deux du village. Il y a deux jours, néanmoins, il a poursuivi Akatsuki après la défaite du Godaime et affronté Akasuna no Sasori, que l'on pensait tous mort depuis des années. Ce que je sais actuellement à ce sujet, c'est que le Sunajin a été gravement blessé et qu'il a été pris en charge. Quant à moi, j'ai entendu parlé de la poursuite d'Akatsuki qui allait débuter. Suna a fait appel à son allié, Konoha, pour cela, ce qui ne peut être que bénéfique. J'espère que c'est pour cela que l'on m'a appelé ici.

- Vous me demandez, je viens, donné-je en guise de réponse avec un mouvement cordial de la tête. Je peux vous aider ?

- Bien, fait un autre dirigeant sur ma droite. En effet, nous avons besoin de vous ... ou plutôt de votre patrimoine. Mes sourcils se froncent légèrement mais je garde un intérêt poli pour la conversation. La reconstruction du village prendra énormément de temps et coûtera cher. Il s'avère que le Daimyô n'a pas pu nous envoyer toute l'aide qu'il espérait. Vous possédez la grande majorité du sud du pays, comptez d'inépuisables ressources et des centaines d'ouvriers. Toute cette aide serait le bienvenu. Je le regarde, presque incompréhensif, lui puis les autres qui l'accompagnent. Sont-ils sérieux ? Est-ce une véritable demande ?

- Vous ... me demandez de faire appel à mes sociétés et mon argent pour la reconstruction de Suna, c'est cela ? demandé-je, interloqué.

- Exactement ! approuve un autre. Ce serait la plus grande aide que l'on puisse nous fournir. Ils sont véritablement sérieux. De nouveau, je sens la colère monter en moi. D'où sortent ces hommes et ces femmes sensés diriger un village ninja ?

- C'est déjà fait, quatre cents ouvriers arriveront d'ici trois jours avec les matériaux nécessaires, fais-je d'une voix neutre, et deux cents autres la semaine prochaine. Des emplois temporaires ont été créés au sein de la Société Lezareno uniquement pour cet événement et il y a eu de nombreux volontaires un peu partout dans la région. Enfin, la consigne a été donné à Altamira de vous donner tout ce que vous désirez en terme de fonds, de nourriture, d'eau et tout ce qui peut être utile. Vous n'avez qu'à leur adresser un message. Devant moi, je note pas moins de cinq visages arborant une certaine surprise. Ceci ne fait qu'accentuer ma colère.

- Ah, parfait, Riigaru, nous t'en remercions infiniment ! me fait celui s'étant étonné de ma venue. Tu nous es d'un grand secours, Suna n'oubliera pas. Tu peux nous laisser dans ce cas, nous allons faire une liste de ce qu'il nous est nécessaire dans l'immédiat.

- C'est tout ? lâché-je aussitôt en perdant mon calme face à mes supérieurs. C'est pour ça que vous m'appelez ? Vous ne pensez donc pas que contacter Altamira est la première chose que je fis lorsque l'on m'extirpa du trou dans lequel je suis resté enseveli durant des heures et en m'apercevant que Gaara-sama n'était plus là ?! Vous pensez réellement que j'ai besoin d'attendre que vous y pensiez, ou besoin de votre permission ? J'ai été en prison, pas à l'asile. Je sais encore ce qui doit être fait et ce qui est juste. Ma voix grave et puissante inquiète certains parmi les présents, mais d'autres, bien qu'ayant sursauté sur le coup, affichent à présent leur propre mécontentement à ma réaction qu'ils doivent juger déplacée et audacieuses, mais peu m'importe.

- N'oublie pas ta place et à qui tu t'adresses, Riigaru ! s'emporte le premier. Et ne nous parle pas de "ce qui est juste" après avoir passé dix ans en prison pour assassinats d'innocents. N'oublie pas qui t'a libéré !

- Pas vous, rétorqué-je sans hésitation, ce qui n'est d'ailleurs pas faux. Certes, Akihiko-dono est ordinairement membre de cette troupe d'idiots que je vois actuellement en face de moi, mais c'est à leur insu et sans leur accord qu'il me fit quitter ma geôle pour combattre Konoha. Cet homme qui me tutoie sans raison et tous ceux qui l'entourent n'ont rien à voir là-dedans. Je ne leur dois rien. Ne vous adressez pas à moi comme si vous me connaissiez ou ne connaissiez quoi que ce soit à la vie en dehors de votre fauteuil confortable. Kazekage-sama a été enlevé pour son Bijû, c'est ça qui est important. Une équipe va être mise en place pour partir à sa recherche, je veux en faire partie. Mes poings, comme à l'accoutumée placés devant moi, se serrent. Je sens mes phalanges craquer.

- Et puis quoi encore ? ricane l'homme âgé de droite. Vous avez peut-être des talents qui nous sont précieux, mais que penseraient les villageois et les autres nations en apprenant que le Kazekage a été sauvé par un meurtrier, fers aux poignets ?

- Les villageois s'en fichent, du moment que celui qui a tout fait pour les protéger leur revient ! Et depuis quand vous préoccupez-vous de l'avis des autres pays ? Vous ne vous en êtes pas préoccupés lorsque vous avez marché sur Konoha aux côtés d'Oto pour ensuite vous allier avec la Feuille quelques semaines plus tard.

- Comment oses-tu ! Nous ...

- Vous n'êtes que des politiciens médiocres ignorant tout de la vie ninja ! hurlé-je afin de le couper. Vous êtes tous splendidement accrochés à votre place et ne souhaitez pas la lâcher la moindre seconde. Que faisiez-vous alors que le chaos régnait tout autour de cet endroit il y a deux jours ? C'est étonnant de vous voir tous ici, en face de moi, sans la moindre égratignure, alors que votre collègue et supérieur a affronté Akasuna no Sasori en personne. Je suis persuadé que la plupart d'entre vous n'ont pas exécuté la moindre prouesse au combat depuis qu'ils ont obtenu leur place au conseil. Dans le cas contraire, vous iriez vous-mêmes rechercher Gaara-sama au lieu de faire appel à Konoha pour ne pas bouger et de me juger pour ne pas que j'y aille.

- Vous allez trop loin, héritier Buraian ou pas ! s'écrie enfin un nouvel intervenant, que j'ignore.

- Cependant, le numéro deux du village est, aujourd'hui, encore en vie. Je m'en remets donc à Akihiko-dono, le seul parmi vous qui sait encore ce que c'est que d'être un shinobi. Sur ces paroles jetant un froid dans la tente, je tourne les talons et ressors à l'air libre. Ce n'est pas la fin de cette histoire, il pourrait y avoir des conséquences. Mais actuellement, je n'y pense absolument pas et respire une bouchée d'air frais un léger sourire aux lèvres.

NenaKonstanZ

Correcteur
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Correcteur
Messages : 179
Date d'inscription : 15/05/2015


Re: Destruction et renouveau [FB#2]    Ven 4 Mar - 22:13

Correction de Buraian Riigaru

Positif


Ton style est toujours aussi soigné.
C'est vraiment une très bonne idée de faire un retour sur l'attaque de Suna! Tu retranscris très bien l'atmosphère post apocalyptique, et j'ai particulièrement apprécié ton insolence. Je suis pressé de voir où cela va mener, et quelles seront les conséquences de ton âme chevaleresque!


Négatif


Il y a toujours quelques fautes d'inattention. Elles restent toutefois minimes vu la longueur de ton texte.


Gains


Cela vous fait cher Roméo 42 pe


Kakuzu
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