Le peuple Sakyû no Hôzen vénèrent les divins des dunes et de la sécheresse, protégeant ainsi les Anchikku Taiyõ no Seikihi autrement appeler " 神話の石の砂漠 - Sabaku Shinwa no Shôkyakku ", les pierres secrètes de chaleur. Elles signifient la volonté déterminée de mourir quant à la protection des vérités du peuple oublié, en l'occurrence, les ancêtres de Seïshin. Quand il se retrouvera au carrefour des voies et qu'il devra choisir la route, le combattant n'hésitera pas ; et choisira la voie de la mort afin de protéger les biens de ce qui lui a été légué depuis des décennies. Ne posant pour cela aucune raison particulière du moment que son esprit soit ferme et prêt à accomplir son devoir de Sakyû.

Quelqu'un pourra dire que si le guerrier des sables meurt sans n’avoir atteint aucun objectif dans l'objet de la préservation des trésors ancestraux des siens, son décès n'aura pas de sens ; ce sera comme la mort d'un chien. Mais quand celui-ci se trouvera au carrefour des tombeaux royaux et infernaux, le nomade ne devra pas penser à atteindre un autre objectif que le sacrifice humain.

Tous préfèrent la vie à la mort et si lui guerrier des sables, raisonne dans ce chemin ou si il fait des projets il choisira la route de la vie évidemment. Mais si ce forban manque le précepte du clan et reste en vie, le faucheur sera par conséquent considéré comme un couard. Ceci est une considération importante. Si il meurt sans atteindre un objectif, sa mort pourrait être la mort d'un insecte, sombrant dans une folie frénétique, mais il n'y aura aucune tache sur son honneur de d’adepte des divins solaires si atteint ses buts et qu'il préserve les écrits des nomades spectraux. Dans le Taiyõ no Seikihi, l'honneur et les offrandes aux dieux viennent en premier.

Par conséquent, que l'idée de la mort soit imprimée dans son être chaque matin et chaque soir, d'où le fait que le traqueur des sables trimbale son fourreau, prêt à en découdre à chaque instant. Quand sa détermination de mourir pour le clan aura trouvé une demeure stable dans son âme, notre mystérieuse tête encapuchonnée aura donc atteint le sommet de l'instruction et de la dévotion des Sakyû.

Le respect d'un certain stoïcisme, du mépris du danger et de la mort, d'honneur, de courage, de fidélité absolue à la parole donnée; une philosophie qui s'adresse avant tout aux guerriers dignes de ce nom. Chez les Sakyû, le guerrier puise un sens de sereine confiance dans le destin, un esprit de soumission à l'inévitable, son avenir est déjà tout tracé tel qu’il l’a lui-même décidé. L'acceptation stoïque du danger et de ses conséquences, le dédain de la vie.

Le Taiyõ puise les notions de loyauté à l'égard de leur propre sang, de vénération envers le divinités du désert, d'admiration des ancêtres et de leurs écrits, de piété filiale, de passivité et de patriotisme. Clef de voûte de cette mentalité, la rectitude, leur propre justice est la vertu la plus importante : c'est le devoir pur et simple. La deuxième vertu est le courage ou la disposition à accomplir ce qui est juste pour soi et pour son peuple en voie d’extinction, afin de préserver la race antique et ses vérités cachées. Vivre lorsqu'il est juste de vivre et mourir lorsqu'il est juste de mourir. Le Dàima ou plutôt bienveillance, vient ensuite et n'est que rarement mentionné parmi les parchemins hiéroglyphique.

En dépit des dieux, du combat et du sacrifice, être un nomade des dunes c'est aussi la magnanimité, l'artisanat, le commerce, le tout cultivé par la poésie et la mélodie. Une facette qui, malheureusement, se dissipe peu à peu de la personnalité du pisteur qui s’enfonce désormais dans un gouffre ténébreux, baignant aux côtés de l'avidité et du pouvoir. Oser vivre quand la vie est plus pénible que la mort, apprendre à ne point se plaindre, malgré les plaintes de l'âme et les souffrances du corps voilà l'ascèse de celui qui suit le célèbre code des Sakyû, qui définit sensiblement une religion prise très au sérieux par ces derniers.

Un commandement suivi tant bien que mal par ce capitaine des forces de surveillances extérieurs depuis son initiation, ayant été élevé dans ce sens, une éducation des plus ancestrales de nature très strict.