Nouveau Lieu

Akrillo

Enfin, j’avais fini la tâche que mon père m’avait donnée. J’allais enfin voir l’auberge !!
Lorsque j’arrivai devant, je vis tout d’abord que la charrette était presque entièrement déchargée, alors que je m’étais absenté qu’une vingtaine de minutes ! **Eh bah, ils sont efficace ces deux la…** je faisais référence à nos deux nouveau « gardes » ou je ne sais quoi que nous avait donné l’Homme riche.

Je m’approchais de la massive porte en bois foncé, et l’ouvrit. Je vis enfin mon nouveau chez moi.

La porte s’ouvrit sur une immense salle bien éclairée, où on trouvait le bar sur la gauche et plus loin dans une autre salle la cuisine, tandis qu’au fond à droite il y avait une porte, qui devais mener à une sorte de réserve, d’entrepôt… Dans cette immense salle rectangulaire se trouvait huit grandes tables de la même formes, où pouvait siéger six personnes facilement, puis plus loin il y avait encore plusieurs tables ronde, de deux ou trois personnes. Un espace délimité les tables rectangulaire à ces dernières, où on pouvait circuler facilement, tel un couloir sans mur ; il allait de la porte d’entrée au bar, en longeant toutes les tables, puis en se séparant pour aller soit à la réserve, soit à l’escalier.
Oui, il y avait un escalier, puisque l’auberge était composée de deux étages supplémentaires. Je gravissais les marches trois par trois pour arriver face quatre petites chambres, pouvant héberger une ou deux personnes, selon l’intimité qu’elles avaient entre elles… En marchant un peu plus sur ma gauche, je vis un balcon, où on retrouvait encore des tables ronde de deux à trois places. **La vue devait être sympa d’ici. ** Mais je ne m’arrêtai pas vérifier, je voulais voir le sommet.

Certes le premier étage était moins remplis que le rez-de-chaussée, mais il serait surtout réserver pour ceux voulant dormir la nuit ici, ou manger/boire tranquillement. Ce n’était pas la majorité des gens ici !
Enfin, les escaliers menant au dernier étage arboraient une pancarte « Défense d’entrée, personnel seulement ».
 C’était enfin nos logements.

Tout de suite en sortant des escaliers, on pouvait voir la chambre de mon père, grande, spacieuse, avec bien plus de confort que nos anciennes chambres. Il fallait avouer que la, on était traité comme des nobles. Il avait aussi un petit bureau, mais largement suffisant.

Et enfin, j’arrivai à ma chambre. Si celle de mon père était grande, la mienne était géante. C’était une grande salle rectangulaire avec comme sol une moquette marron, ne contrastant pas avec le reste des couleurs, De longue et haute fenêtre, pouvant être fermé par des rideaux pourpres. Les murs étaient en bois, et le plafond aussi. De nombreux meubles s’y trouvaient : étagères, bibliothèque surtout, lit, canapé, table basse, fauteuils, tapis, tableaux, coffres,  plusieurs petits bureaux…
Mon attention se fit surtout sur un petit escalier en colimaçon au fond à droite, menant sur une pièce circulaire trois mètres plus haut, de cinq mètre de diamètre,  avec une grande fenêtre au plafond. On y trouvait plusieurs coffres, un grand bureau et toujours des étagères où on trouvait des tonnes de papiers, tous mes papiers pour mon travail d’intendant.
Sur le bureau se trouvait une lettre cacheté par un sceau que je ne connaissais pas. Une seule chose était écrite sur la lettre : «  Akrillo ».
Je l’ouvris, et la lu rapidement ; c’était l’homme riche qui m’écrivait, me souhaitait la bienvenue. Il avait reconstruit cette chambre juste pour moi, pour mes besoins. Il espère que l’auberge nous convient, et  dieu sait qu’elle nous convenait, et qu’il allait bientôt nous rendre visite.
Je posai la lettre et m’assis sur le fauteuil en cuir rembourrée. **je n’avais jamais vue un endroit aussi beau, il est du même acabit que le bureau du Raikage…**
Je passai la tête par la fenêtre se trouvant au plafond de la salle de mon bureau, en m’aidant avec le siège, pour admirer la vue. On pouvait voir la montagne et le village continuant de descendre en suivant la rivière. C’était magnifique, un mélange de couleur, que ça soit le bleu de la rivière, les couleurs ternes de la rivière, ou les toits colorés des maisons….
De la porte d’entrée à ma chambre, cet endroit respirait la sécurité, le luxe. La joie ? Le bonheur ? Surement aussi.
J’avais tellement hâte de commencer cette nouvelle vie, mais pour ça, on aura besoin de client, et de travailleurs.
**Humph, je m’en chargerais demain**
Et c’est avec cette idée en tête que je descendis voir mon père...



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